Lundi : coup de tonnerre sur la campagne présidentielle : les 5 candidats à la primaire du Deblocnot se retirent empêtrés dans des affaires louches: pots de vin (de bière plutôt ) pour Rockin, emploi fictif pour Pat, sabotage pour Bruno, maltraitance envers dinosaure pour Claude et trafic d'influence pour Luc, une débandade et un coup dur pour la France...
Mardi : Rockin ressort de l'oubli un trésor caché des seventies : l'unique disque du groupe danois PAN, qui fut fondé par le français Robert Lelièvre qui connut une triste fin, de bons passage dans la mouvance heavy/psyché/prog typique de ces années là.
Mercredi : Bruno se penche sur la vie et l'oeuvre d'un géant du blues, Elmore James, souvent copié, jamais égalé, même si le succès ne fut pas à la hauteur de son vivant. le King of the slide guitar vu par notre King of the blues chronicles.
Jeudi : changement de style avec Vincent qui revient pour ses premiers émois de métalleux pour le groupe de poètes teutons Accept ; toujours là même s'il ne reste que 2 membres du line up original; et ça dépote toujours comme nous le prouve ce coffret cd/dvd live de 2015.
Vendredi : avec Luc qui revient de voir le nouveau film de Guillaume Canet Rock'n 'Roll, comédie qui manie l'auto dérision, ou chacun joue son propre rôle, y compris Johnny Hallyday et Marion Cotillard, avec cette question existentielle : comment être rock'n'roll aprés 40 ans ; c'est pourtant simple lisez le Deblocnot!
Samedi : Claude confirme sa volonté de nous faire découvrir les compositeurs jamais commentés dans le blog. Avec Paul Hindemith, place à une musique loufoque et orchestralement généreuse : Les métamorphoses symphoniques sur des thèmes de Weber (Car-Maria von). Et c'est papi Eugen Jochum, auteur d'une version épicurienne inégalée des Carmina Burana de Orff, qui met le feu à la Philharmonie De Londres lors d'un live à la BBC. Ben quoi, il n'y a pas que le Johnny qui allume le feu…
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