Ne perdez ni votre temps ni 2€ en allant voter à la primaire de droite, bientôt chers lecteurs nous vous inviterons à déterminer quel sera le candidat qui portera les couleurs du Deblocnot, nous vous tiendrons informés en temps et en heure. En attendant ce grand moment penchons nous sur la semaine écoulée :
Lundi : voici Pat avec sa chemise à fleurs et sa barbe, look de circonstances pour nous raconter l'Olympia 1973 de Maxime Le Forestier, un beau moment entre poésies et protests-songs post soixantehuitarde, de "San Francisco" à "l'éducation sentimentale" ou "Mon frère", Max aligne ses succès de l'époque.
Lundi : voici Pat avec sa chemise à fleurs et sa barbe, look de circonstances pour nous raconter l'Olympia 1973 de Maxime Le Forestier, un beau moment entre poésies et protests-songs post soixantehuitarde, de "San Francisco" à "l'éducation sentimentale" ou "Mon frère", Max aligne ses succès de l'époque.
Mardi, c'est
Rockin avec sous le bras le nouvel album de The
Rides, le "supergroupe" de Stephen Stills, Barry Goldberg
et Kenny Wayne Shepherd; 3 superstars qui ont su se fondre dans un collectif
bien huilé qui déroule sur du velours ; blues, west coast, rock revival
ou soul, ces vieux briscards connaissent toutes les ficelles et leur
plaisir de jouer est communicatif.
Mercredi, après
le plaisir, la tristesse avec l’hommage à Léonard
Cohen. Bruno revient avec émotion sur la carrière du poète canadien
qui nous a tous un jour ou l'autre fait vibrer. Il laisse un énorme vide,
heureusement un autre jeune canadien est prêt à prendre la relève : Justin
Bieber*.
(NDLR: pardon à
Mr Cohen pour la comparaison avec cette tanche de Bieber, l'auteur de ces
lignes sera blâmé)
Jeudi, Vincent a
ressorti de ses placards cet album de Roger Taylor, le batteur de Queen,
galette publiée en 1989 sous le nom de
The Cross. Un projet parallèle qui dura le temps de 3 albums dont celui-ci,
un disque bien rock dans lequel Roger s'illustre au chant et à la guitare.
Vendredi, Luc a
délaissé les salles obscures pour un tour aux abattoirs avec les Slaughterhouse
Brothers (les frères des abattoirs) et leur nouvelle production, le
groupe normand qui ponds là un petit brûlot, entre power pop, psyché et
rock garage. Encore un combo made in France qui mérite qu'on s'y
intéresse !
Samedi, Claude,
qui depuis jeudi a droit à la carte sénior+, nous montre qu'il reste un grand
romantique échevelé. Il a réuni autour du gâteau saturé de bougies trois potes
à lui : Ludwig van Beethoven, un compositeur familier du blog, Emil Gilels, un grand
pianiste russe, et le chef yankee d'origine hongroise George Szell, tout ce
beau monde pour écouter le 4ème concerto pour piano du musicien autrichien. Le concerto de LVB favori de
papy Claude…
(NDLR
: Sonia avait préparé un gâteau de Savoie pour ménager la dentition de nos
quatre anciens. Pardon ? Trois étaient des fantômes ? Ah bon !)
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