Lundi,
on a fêté le retour de Philou, tout bronzé après sa tournée des plages avec sa
voiture aux couleurs du Deblocnot,
tournée durant laquelle il a pu profiter de l'énorme notoriété du blog pour
emballer comme une bête, du moins c'est ce qu'il raconte… Entre 2 conquêtes, il
a aussi un peu bossé, réécoutant notamment Steelhouse Lane, un must de hard rock mélodique sorti en
2006 dans l'indifférence mais qui ravira les fans de Journey ou Def Lep'.
Mardi,
on a retrouvé un Rockin en grande forme avec la fin de sa saga estivale des
chansons sexy, une troisième partie consacrée aux compositeurs anglo-saxons,
d'Elvis Costello à Madonna en passant par James Brown ou Bob Marley ; lecture
remboursée par la Sécu en remplacement du Viagra, merci Rockin de penser au
trou de la sécu (et au trou du… ajoute Luc…)
Mercredi,
pas besoin de viagra non plus pour Bruno. En effet il a toujours dans sa piaule depuis
les années 80 ses posters de Lee Aaron, alias la Metal Queen. Un peu éloignée
des scènes depuis des années, elle nous revient avec un album de heavy/glam/
rock bien sympa ; Bruno qui maintenant aime les MILF° a kiffé…(*wikipedia)
Jeudi, Pat a rendu un hommage ému à Lemmy au travers du dernier album de Motorhead "Bad magic" sorti quelques semaines avant la mort de
Mister Kilmister ; la voix était fatiguée mais ce chant du cygne du heavy trio
infernal dépotait encore sévèrement.
Vendredi,
journée Eddy Mitchell, autre dinosaure, mais made in France, qui a fait ses
adieux à la scène il y a 5 ans avec un album pour l'occasion nommé en clin
d'œil "Ma dernière séance". On y retrouve pour l'occasion un bon
Schmoll entouré d'une sacrée brochette de musicos qui égrène ses succès "de
Nashville ou Belleville" à "Pas de boogie woogie" en passant par "La route de Memphis". Luc, notre dinosaure de
la chronique mais qui n'est pas près de se retirer s'est régalé.
Samedi,
Claude revient aux valeurs sûres du classique avec l'Octuor pour cordes du
jeune Felix Mendelssohn âgé de 16 ans !!! Un sacré surdoué le Felix : une œuvre
virevoltante et poétique, celle d'un ado survoltée qui jouait déjà dans la cour
des très grands. Et en plus, le compositeur jouait aussi du pinceau dans de
fines aquarelles qui ont fait le bonheur du Toon côté illustration…
Rafraichissant en ces périodes torrides…
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