C'est un Vincent d'humeur un peu dépressive qui a commencé la semaine, non pas à cause de la mélancolie automnale, mais la faute à cet album de Genesis de 1997, post Phil Collins, un peu trop atmosphérique et sombre. Quelques gélules d'Iron Maiden et de Megadeth et ça ira mieux Vincent !
Mardi,
Luc a rendu hommage à Gene Wilder, décédé à 83 ans, immense acteur comique
américain qui nous aura bien fait
marrer, notamment avec son complice Mel Brooks ("Frankenstein
Junior"," Le shérif est en prison") mais aussi avec Woody Allen
ou encore en Willy Wonka dans "Charlie et la chocolaterie".
Ensuite
Bruno et Pat nous ont fait revivre le milieu des années 70, époque bénie par
les dieux du rock. Bruno d'abord, avec le second album des desperados de Point
Blank "Second season" en 1977, un brûlot de boogie rock southern qui marque leur sommet avant de s'enliser
dans un rock plus FM.
Pat,
lui, est resté en France avec Jacques Higelin et ce fameux "BBH75" de
1975, dont la folie et l’électricité bottent les fesses d'un rock français bien
timide ; avec son lot de pépites "Paris New York- New York Paris",
"Est ce que ma guitare est un fusil", "Mona Lisa Klaxon"
"Oesopahe boogie, cardiac blues"… Un indispensable.
Vendredi,
un polar pour profiter de l'été indien sur la plage, avec Luc qui nous propose
"Dernières cartouches" de l'italien Cesare Battisti, un roman qui
nous plonge dans les arcanes des
groupuscules terroristes italiens ; fortement autobiographique quand on connait
le passé trouble de l'auteur… Quant au passé trouble de Luc nous y reviendrons
prochainement…
Samedi,
Claude nous entraîne pour la première fois dans l'univers Lyrique avec Salomé de Richard Strauss. Une plongée érotique, gothique et carrément glauque au sein
d'une bande de cinglés, nobles, courtisans et autres frapadingues d'après une
pièce à scandale d'Oscar Wilde. Sonia est tombée dans les pommes quand Rockin
lui a fait croire que la tête coupée de Claude était dans le frigo de la
rédaction.
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