dimanche 15 mai 2016

UNE SEMAINE MOUVEMENTÉE...





lundi, on était  en bonne compagnie avec Bad Company pour la sortie d'un live de 1976 du groupe de Paul Rodgers, un double cd enregistré en 1977&1979 avec la formation originelle de Bad Co, un Graal pour les fans dont notre Philou !

Mardi,  Rockin s'est pointé à cheval à la rédac', la main sur les colts, c'est que faut pas le chatouiller quand il cause Western spaghetti. Et il nous en a déniché un complètement déjanté, Matalo de 1970 signé de C. Canevari avec une galerie d'outlaws fêlés et accoutrés en hippies...

Mercredi, Bruno s'est emballé pour une chanteuse, une de plus à ajouter à sa collection, mais cette  Layla Zoe semble  sortir du lot  avec une voix qui  donne le frisson, soutenue par un band "Zeppelinien", notre Bruno ne s'est pas remis du choc ; d'ailleurs il a disparu depuis et si vous le retrouvez, merci de nous le ramener ou d'appeler le numéro vert prévu à cet effet.

jeudi, ça a été chaud à la rédac à cause de Pat qui comme toujours trés pro a voulu se mettre en situation pour écrire sa chronique  et s'est pointé le cul à l'air à la rédac ; faut dire qu'il voulait nous parler de Michel Polnareff et son affiche à scandale  de 1972... L'idée a inspiré Sonia qui a tombé le pantalon aussi, suivie de Rockin et Philou, comme pour Bruno on ne les a pas revu depuis... Pat nous parlera la semaine prochaine de Sœur Sourire, ça devrait être plus calme, il viendra en soutane..

Quant à Luc, pas de cinoche cette semaine  mais un concert des Insus ou Téléphone  reformé sans s'appeler Téléphone et sans Corine... Tous les tubes de Téléphone au répertoire bien sûr pour un bon moment qui a enchanté le public présent et a rappelé à notre chroniqueur ses 20 ans, un peu trop même, d’ailleurs s'il pouvait arrêter de courir après nos jeunes stagiaires...

Samedi, Claude nous fait découvrir les premières partitions du jeune Brahms : 3 sonates pour piano, un peu gauches mais virevoltantes (les jeunes compositeurs en font toujours un peu trop, c'est le métier qui rentre). Au clavier le pianiste français François Frédéric Guy fait chanter avec finesse cette musique juvénile et enflammée.


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