dimanche 12 avril 2015

BEST OF A PARTICULES




Bon ça va, c’est super, il fait beau, mais… même à 300 mètres on ne voit plus la Tour Eiffel tellement c’est pollué… Pour le Déblocnot, heureusement, pas besoin de boussole, on sait toujours où le trouver.

Et on y a trouvé, lundi, sous la plume de Claude, une bafouille sur un polar de Harlan Coben, un des maîtres du suspens actuel. C’est du solide, sans temps mort, énigmatique à souhait. Sonia a eu un peu la frousse, et dans ces cas-là, elle ferme les yeux. Sur un bouquin, c’est pas malin…

Mardi, on a eu droit à un Rockin excité comme un cabri (mais maintenant, c'est fini...). On a cru qu’il avait enfin eu un rencard avec Sonia à la sortie du boulot, mais non. Il venait de découvrir l’album de Jeremie Bossone, une merveille, entre chanson et rock, habité, viscéral, et lettré. Voyelle, Bossone, voyelle, Bossone… 

Un autre qui ne se tenait plus, Bruno, qui avait invité trois filles, chacune affublée de… guitares. On ne sait toujours pas ce qui lui fait monter le bourrichon, les filles ou les guitares, mais les deux en même temps, ouh la... Au bromure qu'on l'a calmé tant il avait le médiator qui frétillait.  Ah oui… les donzelles donnent dans le blues-rock. Un motif supplémentaire de se réjouir.

Notre encyclopédiste Pat Slade a ressorti de ses cartons tous ses albums de rock prog français, pour nous en dresser l’inventaire. Seconde partie d’un article fleuve, démontrant qu’en la matière, il n’y avait pas que des anglais sur le coup, et pas que Ange, chez nous. 

Vendredi, Sonia a enfourché la grosse cylindrée de Luc, et ensemble ils ont chevauché vers Monument Valley. Séance ciné, donc, mais pas pour un western, pour un film méconnu et aujourd’hui culte : Electra Glide in Blue. Pas très confortable, les Harley, la pauvre avait un peu mal au culte à la fin de la virée…

Il fait beau, on l’a dit, raison pour laquelle Claude nous a parlé de tempête… Celle de Shakespeare, mise en musique par Tchaïkovsky, et dirigée par Gustavo Dudamel. On y parle aussi de Roméo et Juliette (illustré par une jolie photo, pas Schwarzy, l'autre...) et d’Hamlet. Et je rappelle que cette pièce n’est pas facile à monter, on ne joue pas Hamlet sans casser des œufs. 

Comme disait Denise Fabre, bon dimanche, et à lundi…

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