Comme vous l’avez constaté, on a déjà eu des semaines plus rigolotes que ça…
Vous
avez été très nombreuses - trop nombreuses, d'après sa femme - à écrire pour prendre des nouvelles de Claude. Il va mieux,
après avoir été lâchement attaqué par une sale grippe qui lui avait fait grimper sa
température, samedi dernier, à 39°8. A plat le Toon. D’où sa présence ce lundi, où il était
question de légendes : le violoniste David Oistrakh et le chef Eugene Ormandy dans les concertos de Sibelius et de Tchaïkovski. Du coup, Philou a laissé sa place, il n'était pas en état, lui-même
étant monté à 45°. C’est le taux d’alcool du pur malt qu’il s’est enfilé à la
cantine.
Mardi,
Rockin’ a lui aussi donné dans le bourbon du Sud, avec Plug & Play, un quintet
musclé de Troyes, à l’Aube d’une brillante carrière. Il en a profité pour faire
à Sonia le coup du cheval de Troie, ni vu ni connu, un, deux, trois, c’est moi que v’là. Un gamin ce Rockin', mais quand il s'agit de mythologie, un vrai Apollon. (comme dirait Claude : Beaux Arts, quel mythe !**)
Pas
drôle la semaine, parce que le producteur cinglé Kim Foley est décédé en début
d’année. Bruno nous a retracé la carrière du célèbre découvreur des rockeuses
The Runaways, pervers, mégalo, escroc, mais incontestablement une figure du
Rock.
Actualité
réjouissante encore, jeudi, avec une évocation de l’Holocauste par Pat et Claude,
au travers films, documentaires, chansons, musique. En ces temps quelques peu
troublés, il est bon de rappeler certains faits, avérés, des fois qu’il y
aurait encore quelques incrédules…
Sonia
me disait l’autre jours : vos films, c’est comme la musique de m’sieur Claude, c’est
pas parce que c’est vieux que c’est pas bien. L’âge n’a rien à y faire, ce n’est
pas pour rien que des films traversent les époques en conservant toute leur fraicheur. En tout cas, moi, je vais la regarder votre Grande Vadrouille. Euh... Illusion, Sonia... La Grande Illusion, de Jean Renoir… juste un des
cinq ou six films les plus beaux du monde… une paille !
Un
Claude décidément en pleine forme, qui remet le couvert comme un jeune homme,
samedi, avec là aussi un immense classique, La Pastorale de Beethoven (si je
compte bien, c’est sa sixième symphonie, à Ludwig), dirigée par Ivan Fischer.
Un chef d’orchestre qui a donné son nom à un prix prestigieux, les fameux Fischer
Price, décernés aux violonistes de moins de 6 ans.
** alors, vous avez trouvé ?
Et
puis, une intention pour Demis Roussos, qui n’aura pas vu le raz de marée de
Syriza, car décédé à 68 ans. Célèbre à la fin des années 60 avec le groupe
Aphrodite’s Child, où il tenait le chant et la basse, il fait ensuite une carrière
solo, à l’international, une oreille toujours tournée vers ses origines
orientales (il est né en Egypte, et pas en Grèce). Forte carrure, forte voix, il
ne donnait pas dans la Demis mesure…
On l'écoute dans un de ses tubes interplanétaires... Et à lundi !
ooo
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