Ou plutôt la genèse de Genesis, un des fleurons du rock progressif british, première partie qui va de la naissance du groupe en 1968 à 1973, avec 2 chef d’œuvres : "Foxtrot" et "Selling England by the pound".
Eux débutent, ce sont les Blouzayeurs, un duo lyonnais entre le chanteur guitariste Zu et l’accordéoniste Pascal Rosiak, et cela donne un blues en français au parfum de Louisiane, assez réjouissant selon Rockin.
Autre découverte, les Big Bad Fat Moon, un power trio de l'Essonne, qui eux aussi ont choisi le français pour s'exprimer sur un socle rock dur, voire carrément heavy métal par moment, écouté et apprécié par Bruno.
Jeudi un peu de lecture avec Pat, le zonard du neuf un, qui nous a parlé BD avec "le zonard des étoiles" et les autres œuvres de Tramber et Jano et leur héros Kebra le rat-rocker en blouson noir, un univers à redécouvrir.
Vendredi Luc est passé à l'Olympia qui affichait guichets fermés pour l'occasion, le chroniqueur vedette du Deblocnot y dédicaçait en effet ses chroniques... Comment ? Ah ce n'était pas pour toi mais pour voir Paul Personne ? Et tu as ramené un compte-rendu du concert ? Pourtant d’après mes sources, tu as squatté la buvette...
Enfin samedi, le jour du classique et du maestro Toon qui, terrassé par une mauvaise grippe, a laissé la place à Luc qui nous a parlé de ses classiques à lui, les sources du rock'n'roll dans une superbe série intitulée "The secret history of rock'n'roll", on y croisera en version originales des vieux blues qui ont fait les beaux jours de biens des rockers chevelus, par exemple "Statesboro Blues" (Allman Brothers).
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