Le Tour de France a en fait commencé Lundi avec Philou et Rockin qui ont fait le tour de France des Festivals de Juillet, de Cognac à Craponne en passant par Arras et la Corse, ils nous ont sélectionnés une douzaine de festoches bien alléchants...
Le tour, Rockin il connait, il mérite même le maillot jaune ! Quel chroniqueur de l'hexagone peut se targuer d'avoir parlé d'autant de groupes régionaux de Caen à Nancy en passant par Bourges ou Vannes. La preuve, il était Mardi à Lille avec les timbrés de Mascarade pour parler de leur EP "Rien n'a foot", un album concept hilarant autour du foot. Le Rockin a d'ailleurs ensuite été convoqué au contrôle anti dopage. On attend les résultats avec inquiétude vu que notre infatigable chroniqueur a avoué tourner à l'EPO (Eau Pastis Olives)... On avait des doutes de toutes façons, 326 chroniques en 4 ans sans être chargé est aussi impossible que de monter le Ventoux à la vitesse d'Amstrong et au jus d'orange...
Bruno lui il carbure au sanglier fumé aux herbes du maquis, à force de grimper le Monte Cinto notre junkie corse vise le maillot à pois... En tous cas il a le sens de l’hospitalité, toujours prés à partager un verre de Casanis, il nous a vanté naturellement Southern hospitality, un quintet de rondouillards barbus pratiquant un Rock Laid-back évoquant la moiteur des bayous.
Pat lui il conduit la voiture balai, faut dire que Crosby Stills & Nash on les sent pas trop terminer l'ascension de l'Alpe d'Huez , par contre sur scène ils ne craignent personne, la preuve avec ce contre la montre de 49mn33secondes, un live de 1983 où ils montrent leur sens unique des harmonies vocales et des chansons bien torchées.
Luc nous a conté les aventures d'un compatriote de Jan Ullrich, Bernie Gunther, héros des polars de Philip Kerr, l'auteur de la "trilogie berlinoise"; Gunther ex-nazi et détective privé nous fait voyager dans ses enquêtes entre fiction et réalité, et nous fait croiser des personnages réels comme Evita Péron ou le sinistre Dr Mengele. 2 petits polars à emmener en vacances donc.
Et hier Claude nous a fait découvrir Alberic Magnard, dauphin de Lucien Petit-Breton sur le tour 1908. Comment Claude ? En fait c'est un compositeur français victime des allemands en 14? Autant pour moi... On découvrira donc les meilleures œuvres de ce grand symphoniste français injustement méconnu.
Oui Sonia ? Non ce n'est pas la peine de vous "faire le maillot" pour le Tour, c'est une expression vous savez...
dimanche 6 juillet 2014
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