The Angels
viennent, une fois de plus, de renaître de leurs cendres. Non
pas le groupe de Hard-FM américain, mais bien celui des
antipodes. Celui qui fut justement un temps baptisé
Angels-City afin d'éviter la confusion. Celui-là même
qui fit partie du raz-de-marée australien qui déferla
sur l'Europe à la fin des années 70, AC/DC en tête,
et Rose Tattoo en renfort pour la seconde vague. (Pour mémoire,
Choirboys, Wendy & the Rockets, Cheetah, The Saints, Cold Chisel,
The Radiators, et même Midnight Oil).
En quelques années, et après de nombreuses péripéties, The Angels ont réalisé une lot d'albums de Heavy-rock tranchant dont certains font encore aujourd'hui office d'incontournables : « Face to Face », « No Exit », « Night Attack », « Two Minutes Warning », « Live Line », voire « Beyond Salvation », « Howling », « Red Line Fever » « Skin & Bone » (toutefois pour ces derniers les avis sont très partagés).
Pendant quelques
années, fort de leurs opus qui avaient parfois même
l'approbation de ceux qui vilipendaient les combos dits de Hard-Rock,
The Angels remplissaient aisément les salles.
Toutefois, à
partir de « Watch the Red », malgré le
sursaut du magnifique « Two Minutes Warning »,
The Angels commencent à s'essouffler. De plus la vogue d'un
Metal jusqu'au boutiste et parallèlement d'un Rock-Hard
maniéré et surproduit stoppent l'essor d'une formation
qui aurait pu être proche, sinon l'égale, d'une majorité
des fières Américaines et Anglaises. The Angels, (et
bien d'autres alors), ne se situant ni dans l'un, ni dans l'autre,
n'ont plus vraiment la faveur des promoteurs de concerts (hors
Australie), ni des importateurs de disques (Epic a arrêté
sa couverture mondiale après le bien moyen « Watch
the Red »). Toutefois, le quintet est toujours dans le
cœur des amateurs de bonne sensations rock, même ceux qui sont
passés du côté obscur. Son authenticité,
sa sincérité, couplés à la qualité
de son Rock original et hors-mode ont permis à ces australiens
de ne pas disparaître prématurément dans l'oubli.
Leurs apparitions scéniques, désormais plus modestes,
attirent systématiquement les foules.
Le double live de
1987, « Live Line », confirme deux faits
primordiaux :
- Angel-City/The
Angels ne triche pas, ses prestations live ne déçoivent
pas, mieux certaines versions dépassent celles gravées
en studio.
- les ventes et
les diverses rééditions de ce double live (une première
avec quatre titres complémentaires et la dernière avec
encore dix de plus) prouvent que le groupe compte encore.
Bon nombre de
groupes américains citent volontiers The Angels parmis les
combos qui ont compté pour eux. Parmis les plus connus,
Guns'n'Roses, Pearl Jam, Nirvana et Great-White, ce dernier incluant
même des chansons des australiens à son répertoire.
Et puis c'est le
déclin, notamment par la faute de disques par toujours bien
distribués. Pendant longtemps, il était plus difficile
de dégotter un import australien qu'un japonais.
Fatigué,
le groupe finit par se séparer, ne se réunissant qu'en
de rares occasions pour des prestations uniques. Jusqu'en 1998 où
The Angels refont surface. Jim Brewster, un moment parti se frotter à
des sensations plus simples et fun (1), est revenu au bercail. La
sortie du CD « Skin & Bone » commémore
ses retrouvailles. L'album est bon et est unanimement salué
tant par la critique que par les fans. C'est l'année où
The Angels sont intronisé (par Angry Anderson) au Hall of Fame
de l'ARIA. Pourtant, ce sursaut ne dure pas. La faute à un
grave accident de la route. Percuté par un camion, alors qu'il
était au volant de sa voiture sur une highway de Sydney, Doc
Neeson se retrouve dans un état critique. Il reste longtemps
en convalescence, se remettant doucement et péniblement de ses
blessures. Lors d'un concert, en décembre 1999, le soir du
réveillon exactement, il annonce l'arrêt de sa carrière.
Suite à son accident, un médecin le prévient que
s'il continue la scène (et le Doc est renommé pour ses
prestations très physiques), il risque de se retrouver dans un
fauteuil roulant.
Néanmoins,
cet irlandais d'origine (né à Belfast en 1947) a la
bougeotte. Il remonte sur les planches en février 2001 pour le
Tour of Duty ; séries de concerts organisés par Neeson
en soutien des troupes australiennes en faction au Timor Oriental
(Neeson a été sergent dans l'armée australienne
pendant dix-huit mois, avant de reprendre les études). Tandis
que les frères Brewster remontent The Angels avec Jim Hilbun
(2) au chant. Mais le projet ne passe pas l'année.
En 2003, Neeson
forme son propre « The Angels » : Doc Neeson's
Angels. Puis en 2005, il fonde The Red Phoenix. Ce qui n'est guère
du goût de tous ceux pour qui le Doc est indissociable du son
et du tempérament de The Angels, l'original ; et qui ne
souhaitent qu'une chose, retrouver enfin le Doc avec les frères
Brewster. Red Phoenix pond de bons titres, très proche de
l'esprit The Angels, un poil plus Hard au niveau du le son. Il existe
un disque éponyme, malheureusement épuisé depuis
longtemps.
En 2007, il part,
avec Doc Neeson's Angels, et non Red Phoenix, soutenir les troupes
australiennes basées au Moyen-Orient.
Et, enfin, dans
le courant de l'année 2008, c'est le miracle. Alors que l'on
avait fini par l'enterrer, concerts et médiatisations
télévisés en Australie, annoncent à grand
fracas le come-back de The Angels. Le succès qui a traversé
les frontières du DVD sorti l'année précédente,
relatant leur carrière, a peut-être contribué à
ce retour inespéré.
On découvre
un Doc méconnaissable, passablement bouffi, empaté, qui
le différencie totalement du grand dadais à l’œil vif,
sautant et virevoltant dans tous les sens - qui tranchait
complètement avec l'attitude volontairement statique de Rick
Brewster – et qui avait contribué à l'image scénique
du combo.
C'est également
le retour de Chris Bailey après vingt-cinq ans d'absence (3).
Retour aussi de Graham « Buzz » Bidstrup (4).
Cette année,
cette fois-ci, c'est l'intronisation au Australian Songwriters Hall
of Fame.
On redécouvre
un The Angels en pleine possession de ses moyens, comme si le temps
n'avait pas eu de prise sur eux (à l'exception de l'apparence
physique). L'effervescence règne autour de ce retour tant
attendu. En 2009, ils arpentent le continent à guichets
fermés.
Un Ep live sort
dans la foulée pour calmer les fans affamés, et fêter
par la même occasion l'anniversaire des trente ans de « Face
to Face » (The Face to Face Tour - 30th
Anniversary), et puis c'est de nouveau le noir absolu.
En 2010, le Doc
annonce son désir de poursuivre en solo... Consternation.
La mauvaise
nouvelle encaissée, les frères Brewster ne souhaitent
pas abdiquer, enterrer définitivement ce quintet qui a pris
plus de vingt-cinq ans de leur vie. Bien décidés à
continuer l'aventure, ils partent à la recherche d'un chanteur
ayant la capacité de remplacer le Doc.
Leur choix se
fait sur Dave Gleeson (dont le nom déjà sonne proche de
celui de son prédécesseur), l'ancien hurleur des
Screaming Jets (5).
Est-ce la musique
qui l'impose, mais Dave évoque assez souvent Doc Neeson.
Néanmoins avec un peu plus de fragilité dans la voix.
Par ailleurs, d'autres passages, surtout lorsqu'il force sa voix,
rappellent également le Bon Scott des débuts. Rien
d'étonnant en fait car il a commencé à monter
sur les planches en reprenant une partie du répertoire d'AC/DC
et de The Angels. Et Screaming Jets avait déjà parfois
bien des liens avec The Angels. Néanmoins, Gleeson semble
dorénavant accentuer le trait de temps à autre.
Un premier Ep,
« Waiting for the Sun », sort dans la foulée.
Et l'année suivante, un live. En septembre 2012, un superbe
album de Heavy-rock aussie débarque dans les bacs.
Malheureusement, à l'heure actuelle, l'album reste uniquement
disponible en import.
Malgré
l'absence du pilier Neeson – le second étant l'imperturbable
Rick Brewster - , « Take it to the Streets »
annonce le retour du grand et du pur The Angels.
La musique se
situe principalement dans la continuité des albums fondateurs
du groupe, ceux de la première période, soit « Face
to Face », « No Exit », « Darkroom »
et « Night Attack ».
Ainsi « To
the Streets », « Wounded Healer »
(tiré du disque du même nom des Brewster Brothers),
« Waiting for the Sun », « The More
You Know » nous ramènent illico plus de trente ans
en arrière, à l'époque des disques sus-nommés,
comme si le temps n'avait pas passé. Toujours cette guitare
tranchante comme le rasoir, vierge de tout effet (hormis peut-être
un compresseur, et/ou une overdrive ténue, branchée
dans un ampli en canal clair), sans même une once de réverbe,
juste une saturation naturelle, crunchy, totalement domptée et
maîtrisée. Les soli concis, solides et opportuns, ancrés
dans la gamme pentatonique, exécutés avec rigueur et
suffisamment de feeling pour que cela ne soit pas clinique. Toujours
également cette batterie nerveuse et cette basse qui dégage
et trace la route, en faisant du velours pour le duo de grattes.
Du Heavy-rock à
l'australienne, sec, droit, direct, sans faux-cols, qui n'a nullement
besoin de se cacher derrière des murs d'amplis et des tonnes
de saturation.
Toutefois, dans
ce package 100% « The Angels », il y a un plus.
En effet, Rick Brewster délaisse parfois la six-cordes pour
s'atteler aux claviers, et là, pas d'inquiétudes, il
n'y a rien de sirupeux ou d'ampoulé. C'est plutôt de
l'enrobage d'orgue comme on peut l'entendre par exemple chez Jimmy
Barnes, Tom Petty, Quireboys, Small-Faces, avec une parfois saveur
60's prononcée (parfois même un petit air de Jon Lord de
68-69). Un nappage qui temporise le côté Heavy. Par
vraiment une surprise de voir Rick à ce genre d'instrument
lorsque l'on sait qu'il a débuté la musique par l'étude
du piano classique (remportant même un prix). Une formation que
l'on retrouve d'ailleurs dans sa rigueur dans l'exécution de
ses chorus, toujours à la recherche de la note juste et
faisant abstraction de toutes appogiature stérile. Rick avait déjà, à de rares occasions, apporté quelques touches d'orgues auparavant ("Wasted Sleepess Nights").
« No
Sleep in Hell » sonne comme une rencontre avec AC/DC (ère
70's), mais en réalité rien de vraiment nouveau car
cette pièce, de choix, date de 1983 et figure déjà
sur « Watch the Red » (sixième piste en
1983, et toujours sixième en 2012).
« Where
the Times Comes », le retour de Kings of the Sun ? Ben
non, pas vraiment car là encore il s'agit d'une ancienne
composition datant de 1986 et présente sur « Howling ».
Ces
deux-derniers, même si « No Sleep in Hell »
eut droit à une seconde jeunesse grâce à
l'édition augmentée de bonus de 1999 de « Live-Line »,
sont des titres plutôt méconnus (du moins pour ceux qui
ne sont pas des inconditionnels, et encore...). La production et
Gleeson donnent un bon coup de Karcher qui permet de faire ressortir
les chromes et de faire rutiler la carrosserie. Une bonne opération.
Par contre,
avoir voulu réinterpréter un de leurs classiques tels
que « Small Price » (à l'origine sur
« Two Minutes Warning ») a peut-être été
une gageure. Là, immanquablement, on fait la comparaison entre
Gleeson et Neeson. Alors évidemment, sur ce titre du moins, on
ne peut que regretter l'absence de ce dernier. Même si son
remplaçant s'en tire très bien, il ne parvient pas à
retranscrire la folie du Doc. Mais où sont donc passée
la grosse wah-wah gourmande et la basse vindicative de 1984 ? Le
second solo a été carrément gommé. Rick a
apparemment souhaité déshabiller cette chanson, la
réinterpréter avec plus de sobriété, mais
pour le coup, elle perd en puissance et en consistance.
« Getting
Better » rue dans les brancards avec sa facette punk-rock
(remember « Mr Damage »), où feu-Pete
Wells prend possession, un court instant, du corps de Rick.
La cover d'Elvis
Costello, « Pump it Up »,
projette une autre couleur punk-rock, plus « pop »,
avec ici un son qui la rapproche d'Offspring et de Screaming Jets.
Des séquences de « Waiting
for the Sun » évoque également un vieux
combo oublié, « Will and the Kill » de
Will Sexton, le frère de Charlie.
Le mollasson
« Life gets Better » et le désabusé
et sombre « Telephone » sont deux chansons de
moyenne envergure, à l'ambiance morne et pluvieuse Et « There
Comes a Time » sans saveur, qui n'a que l'ombre de la
ballade un peu rythmée, aurait gagné à rester au
placard ; et ce, malgré le bon solo chantant d'un des fistons
de John, Sam.
Le final avec
« Free Bird » (aucun rapport avec l'hymne de
Lynyrd Skynyrd) trompe un peu son monde. On a l'impression que c'est
un jam s'appuyant sur une base rythmique groovy, funky-blues-rock,
montant progressivement en intensité, avec John à
l'harmonica, Harry Brewster-Jones (fils de John) et Nick Norton (le
batteur) à la lead-guitar, et puis finalement cela ne décolle
pas. En fait, il devrait plutôt être considéré
comme une relance du rythme funky de la précédente
composition, « Some Kinda Hell in Here », sur
le lequel le groupe s'octroie une relative liberté.
Certes pas la
meilleure réalisation des frères Brewster, et même
si Gleeson ne parvient pas toujours à faire oublier Doc
Neeson, « Take it to the Streets » a
suffisamment de qualités, de titres attractifs, pour se placer
en digne héritier de leurs albums marquants.
Fort de ce nouvel
opus, et n'ayant pas l'intention de laisser refroidir les braises,
The Angels ont déjà commencé à préparer
de nouvelles chansons en vue du prochain disque.
Après des
années d'absences, le quintet d'Adelaïde semble vouloir
rattraper le temps perdu.
La malchance s'acharne sur Bernard "Doc" Neeson. Alors qu'il avait organisé une tournée pour 2013 avec « The Angels 100% » (!?) - un vrai méli-mélo – avec Jim Hilbun, Graham « Buzz » Bidstrup, Bob Spencer (guitariste de 85 à 92 des Angels), et James Morley (bassiste de 89 à 92) - en décembre 2012, on lui diagnostique une tumeur au cerveau nécessitant un traitement immédiatement et lourd, prévu sur une durée de six à sept mois.
Le 22 janvier 2013, c'est l'annonce de la maladie de
Chris Bailey qui doit quitter le groupe pour suivre une
chimiothérapie.
(1) D'abord avec The Party Boys avec Alan Lancaster, en
rupture du Quo, groupe essentiellement de reprises, puis avec Wayne
Jury, ensuite avec le Angry Anderson Band, Double Trouble et pour
finir The Bombers avec trois anciens Angels : Chris Bailey, Graham
« Buzz » Bidstrup et Jim Hilbun.
(2) Jim Hilbun, bassiste
de 1982 à 89, puis de 1992 à 2000.
(3) The Angels
débutent en quatuor, Doc Neeson étant à la basse
et au chant. En 1977, Bailey intègre le groupe et prend
la basse. Il quitte le
groupe en 1982, et est remplacé par Hilbun. On peut trouver sur le net une vidéo de 1976, où l'on voit The Angels interpréter "Am I Ever Gonna See Your Face Again" en quatuor.
(4) Graham « Buzz »
Bidstrup, batteur de 1976 à 1981. Remplacé par Brent
Eccles.
(5) Groupe de Newscatle, Australie, qui eut droit à
son heure de gloire au-delà de l'océan Pacifique grâce
a leur opus « All For One » en 1991.
- "To The Streets (J. Brewster/Norton) 4:26"
- "Wounded Healer (R. Brewster) 3:54"
- "Waiting For The Sun (Brewster/Burnham/Brewster) 4:48"
- "Life Gets Better (R. Brewster/Gleeson) 4:11"
- "Telephone (R. Brewster/Coplin) 6:28"
- "No Sleep In Hell (Brewster/Neeson/Brewster) 4:44"
- "The More You Know (J. Brewster/Coplin) 3:45"
- "When The Time Comes (Brewster/Neeson/Brewster) 3:03"
- "Pump It Up (Elvis Costello) 3:21"
- "There Comes A Time (J. Brewster/Coplin) 3:01"
- "Small Price (Brewster/Brewster/Eccles) 4:02"
- "Getting Free (R. Brewster/Norton) 2:46"
- "Some Kinda Hell In Here (R. Brewster/Norton) 4:55"
- "Free Bird (J. Brewster/Norton) 3:37"
Rick Brewster - lead guitare, piano & orgue
John Brewster - guitares, harmonica, chœurs
Dave Gleeson - chants
Chris Bailey - basse, chœurs
Nick Norton - batterie, chœurs.
Bon... pour le clip, ils ne se sont vraiment pas foulés.
je préfère ça :
Bien content d'avoir des news de ces kangourous- là, tout en étant attristé pour Doc Neeson ( gaffe à la confusion de prénom ici:"Est-ce la musique qui l'impose, mais Dave évoque assez souvent Liam Neeson"..) et Chris Bailey.
RépondreSupprimerVu les prix pratiqués pour l'import, faut pas s'étonner s'ils n'en vendent pas des camions.
Si leur zique n'a pas vraiment évolué, au moins ce sont eux qu'on vient voir en live sans tout le Barnum devenu inhérent à certains de leurs cousins...
En principe, avec le change, les imports australiens ne sont pas onéreux (du moins sans compter le port). Rien à voir avec les imports japonais.
SupprimerLe problème c'est la distribution : c'est vraiment le bout du monde.
Par contre, je viens de voir que certains sites de VPC donne un prix un peu farfelu. Presque le double.
J'ai très peu acheté sur ce continent des slips avec la poche devant, mais pour le peu d'achat tout s'est bien passé, j'ai même acheté 2 vinyls introuvables chez nous : Un Birth Control et un Franck Marino & Mahogany Rush, rien à redire sur le continent du soleil rouge ! Impec ! Mais depuis quelques années Nos Cousins Germains Deutch qualitie font des merveilles dans les rééditions... Paperblog méfie te...
SupprimerOuaip. Repertoire Records, je présume.
SupprimerEux au moins, lorsqu'il s'occupe d'une réédition, ils le font plutôt bien.
Au contraire de certaines labels américains qui frôle le foutage de gueule, voire l'escroquerie.
The Angels c'est super ! Paperblog c'est moins bandant, ils vont vous cannibaliser ce blog.
RépondreSupprimersuite à ta remarque et à d'autres en ce même sens, j'ai viré notre site de paperblog, qui est certes alléchant sur le papier mais agit comme un bouffeur de référencement, donc out. merci à toi
SupprimerYou welcome...
SupprimerIl fallait lire "Doc" et non "Liam"... Bravo à toi, Juan (y'en a qui suivent, ça fait plaisir...) d'avoir déniché cette petite coquille, c'est corrigé ! Liam, lui, est sans doute trop occupé à sauver le monde pour le compte d'Europa Corp, pour faire en plus chanteur de rock'n'roll !!!
RépondreSupprimerArghh... j'voulais écrire Bernard, pour changer un peu, et... pan !!
SupprimerJe travaille trop... vivement la retraite. Plus que.... houla !
Chris Bailey est mort le lendemain de la parution de ta chronique...et Take it to the Streets écouté grâce au Russe Lester un putain de bon album!
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