mercredi 1 août 2012

LECTURES ESTIVALES recommandées par Elodie

LE COMTE DE MONTE-CRISTO  ALEXANDRE DUMAS


L’été, c’est le moment ou jamais de se lancer dans des énormes pavés qu’on n’ose pas trimballer dans le métro et qu’on n’a jamais le temps de terminer pendant l’année. Mais inutile d’aller piocher dans le rayon des nouveautés de votre libraire préféré, vous pouvez même vous (re-)plonger dans des classiques. Et celui-ci a tout pour plaire : un héros exceptionnel, une histoire incroyable (mais on y croit malgré tout), de l’amour, de la vengeance, des aventures et des trésors oubliés, des méchants vraiment pas gentils, et des gentils à l’âme noble. Vous connaissez l’histoire parce qu’on vous l’a racontée, que vous avez visité sa cellule au château d’if (si, si, elle se visite !) ou que vous avez vu une adaptation ciné ou télé ? peu importe : si vous n’avez jamais lu Le comte de Monte-Cristo, foncez, vous ne le regretterez pas ! C’est de l’or en barre ce roman !

Allez, pour le plaisir, un bon vieux ORTF des familles... Monte-Cristo version 1979, avec Jacques Weber. L'image est un peu cra-cra, z'avez pas assez de sou pour payer des spots plus puissants !



L’ARMOIRE DES ROBES OUBLIÉES
RIIKKA PULKKINEN (2102)


Les écrivains nordiques ne publient pas que des polars. Ils sont aussi très forts pour retranscrire les ambiances intimistes, au goût de nostalgie. La preuve en est ce joli roman finlandais qui dresse de touchants portraits de femmes autour d’une plongée dans un secret de famille. Une femme en train de mourir, son mari, leur fille et leurs petites-filles : les liens familiaux sont décrits avec beaucoup de sensibilité. Tout comme les relations amoureuses puisque l’histoire est aussi celle d’un trio amoureux : le mari, la femme et la maîtresse, dépeint de façon très juste et subtile, sans manichéisme. Petit plus assez typique des écrivains nordiques : le roman décèle de très jolies descriptions sur la nature qui lui donne un charme supplémentaire.
 

Albin Michel – 2012 – 300 pages

1 commentaire:

  1. pat slade1/8/12 11:15

    Edmond Dantés, l'homme qui a fait son trou dans la littérature et pas seulement dans les murs avec l'abbé Faria pour rejoindre sa Mercédés (Pas sa voiture).Très bon choix ! Sa change un peut des trois mousquetaires ( qui étaient quatre !)

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