dimanche 5 février 2012

666


C'est Claude Toon qui nous l'a fait remarquer innocemment l'autre jour "hé, vous savez qu'on arrive bientôt au 666 ème article publié ?" .
A ces mots Sonia s'évanouit, Philou se précipita sur elle pratiquer du bouche à bouche et massage cardiaque, quel dévouement... Foxy  fonça dans son bureau et se mit à dessiner un pentacle par terre et allumer des bougies autour, elle n'en est toujours pas sortie à ce jour... Pourquoi un tel émoi ? C'est que ce chiffre, que l'on trouve dans l'apocalypse de Jean, chapitre 13, verset 18 n'est autre que "le chiffre de la bête" , l'Antéchrist, le diable ; et depuis des siècles il excite l'imagination et a été abondamment utilisé, notamment comme prétexte à des guerres de religion ou par des sectes et autres charlatans de la peur. Comme nous allons le voir le diable a aussi fait des émules en musique en littérature ou au cinéma...

Petite précision tout de même, ce qui suit n'est pas un traité universitaire, une thèse de 1800 pages (des bouquins sur le sujet y'en a des brouettes entières), mais simplement une petite revue de détails qui ne prétend pas être exhaustive... 


N'est ce pas Rockin', le blues c'est pas "la musique du diable" justement ? 



Si, si, bien sur, et tout commence avec Tommy Johnson (auteur de "Canned Heat Blues" qui donna son nom à Canned Heat) et la légende du Crossroads, du pacte avec le diable en échange de la virtuosité. Histoire reprise à son compte par Robert Johnson (voir  l'interview qu'il m'accorda, cliquer ici). On ne compte d'ailleurs pas le nombre de titres du blues ayant un rapport avec le diable, "Dealing With The Devil" de Sonny Boy Williamson, "Me And The Devil Blues" de Robert Johnson, "Devil Got My Woman" de Skip James, "Devil In Disguise" (pour Elvis 1963), plus récemment Popa Chubby avec "Stealing The Devil's Guitar" pour n'en citer que quelques uns.

Dio -Iron Maiden- Mercyful fate
Ensuite c'est le rock qui va recueillir les suppositions d'allégeance au malin, notamment les deux principaux groupes des sixties, Stones et Beatles. Les Stones avec "Sympathy For The Devil" ou "Their Satanics Majesties Requiest", les Beatles chez qui certains esprits délirants prétendront qu'en passant leurs disques à l'envers on entendait des messages satanistes, ainsi de "Strawberries Fields" où on distinguerait "je vénère Satan". Autre signe la présence sur la pochette de Sergent Pepper de Aleister Crowley le "sorcier" anglais (1875-1947).


DIO "Holy diver"

Mais ce sont les groupes de hard rock, qui vont faire l'objet d'une véritable campagne de la part d’illuminés, tels le PMRC de Tipper Gore, se trouvant accusés de tous les maux de la société, pervertir la jeunesse, provoquer des suicides, et surtout, de soutenir le  satanisme. Faut dire que certains ont tout fait pour cultiver cette image sulfureuse et en ont même fait leur fonds de commerce. Au banc des accusés donc des groupes comme AC/DC "Highway To Hell", "Hell's Bells" ...  sans oublier  leur nom interprété parfois ainsi : (Anti Christ / Death to Christ), Van Halen "Runnin' With The Devil", Alice Cooper "Goes To Hell", les Doors, David Bowie, Dio "Holy Diver", Motley Crue "Shout At The Devil", Mercyful Fate, Black Sabbath (rien que le nom, mais aussi le titre "666" ), Kiss, Slayer, Marylin Manson "Antichrist Superstar", Ozzy Osbourne "Mr Crowley", WASP, Judas Priest, et bien sur Iron Maiden avec "The Number Of The Beast", un des meilleurs titres et album du gang de Bruce Dickinson, les français aussi avec Demon Eyes ou Satan Jokers.
Aphrodite's childs - AC/DC - Black Sabbath
Je n'oublie pas Led Zeppelin, mais c'est un livre qu'il faudrait sur les rapports du diable et du dirigeable, enfin surtout de Jimmy Page, passionné de magie et qui vouait un culte à Aleister Crowley, tellement qu'il racheta sa demeure, le manoir de Boleskine house, qui, selon la légende "zepellinienne", fut un lieu d'orgies et de messes noires. Led Zep fut une des cibles favorites des accusateurs du rock, des runes de l'album IV au titre "Stairway To Heaven", objet de multiples supputations et décryptages farfelus, dont celui de Jean Paul Regimbal, particulièrement intégriste et allumé, et sans doute beaucoup plus dangereux que ce qu'il prétend combattre..
Enfin, une place à part pour un OVNI, l'album des Aphrodite's Childs, le bien nommé "666", qui mettait carrément en musique l'apocalypse de Saint Jean. Un masterpiece complétement barré et un sommet de psychédélisme (1972) avec le jeune Vangelis et un certain Αρτέμιος Βεντούρης Ρούσος... qui se fera ensuite connaitre en France sous le nom de Demis Roussos.
Vincent, Bruno, Elodie, Philou, Foxy, vous avez fini de faire les idiots?! on bosse nous!

Pour en revenir à notre chiffre de la bête, ce qu'il ressort de tout ça, c'est que comme dit le proverbe "qui veut noyer son chien l'accuse d'avoir la rage",  en d'autres termes, en cherchant bien on peut toujours accuser qui l'on veut d'être connecté avec le chiffre maudit et je le prouve! Je vais maintenant démontrer devant vous que Christophe Maé n'est autre que la bête de l'apocalypse, envoyée sur terre pour préparer la venue du diable, en abêtissant l'humanité à coups de ritournelles mièvres : Maé est né dans le Vaucluse, 84, 8+4:12, 2+1:3. Il est né le 16.10.1975, 16+10+1975: 2001, 2001/3: 667, on se rapproche! Mais ce n'est pas fini: il a 22 ans quand il passe à "graines de stars", 667+22: 689, il est fait Chevalier Des Arts Et Des Lettres le 23.01.11, 23 +1+11: 35, 689-35: 654, 654 +12 (Vaucluse:84, 8+4) = 666 !!!arghhh! De plus, un des préceptes de la magie noire est de lire les choses à l'envers, le premier album de Christophe s'appelait "mon paradis", et qu'est l'envers du paradis, sinon L'enfer ?! CQFD! re arghhh !


Et Mr Toon il en pense quoi, dans l'histoire des religions et la musique "classique" y'a aussi des diableries ? 

M Toon, et bien il conseille déjà d'écouter la musique de la vidéo pour découvrir en flippant le mystère caché depuis la nuit des temps au sein d'un nombre terrifiant : 666… La Bête

XXXX
Olivier Messiaen : Et exspecto resurrectionem mortuorum sur des textes de l'Apocalypse (un chef d'œuvre soit dit en passant)                                                     Oui, mais moi, j'ai l'estomac qui gargouille...

Un peu de théologie mathématique, que Diable !!!

C'est bien connu, le démon c'est toujours "la bête" de l'Église d'en face (au sens large). Faisons le tour de la question vieille comme le monde:
1 - Lors des guerres de religions de doctes crétins à la tolérance et à l'ouverture d'esprit limitées (esprit avec un e minuscule) calculèrent que :
LVTHERNVC = 30 + 200 + 100 + 8 + 5 + 80 + 40 + 200 + 3 = 666 en utilisant le nom latin de Luther et une cuisine arithmétique basée sur l'alphabet numéral latin. Le Deblocnot, c'est quand même un blog de lettrés, bordel !
2 - Les protestants, vexés, trouvèrent, sans calculette, et à partir de l'expression "Vicaire de Dieu" qui désigne le très Saint Père (en ces temps-là, tu parles…), AOC  inscrite en latin sur sa tiare (gadget qui n'a plus cours) soit "Vicarlus Filii Dei", la combinaison suivante :
VICarIUs fILII DeI = 5 + 1 + 100 + 1 + 5 + 1 + 50 + 1 + 1 + 500 + 1 = 666, stratagème de bonne guerre (de religion toujours)
3 - Nos astrologues, numérologues et autres charlatans (totalement prohibés par la Bible soit dit en passant) avaient un précurseur dans la charade alphanumérique tordue en la très sainte personne (on n'en doute pas) du pape Innocent III (les mains pleines ?). Un homme pieu bien connu pour avoir fait incinérer en toute bonne foi les albigeois. À part ces menues incartades guerrières, le prénommé civilement Lotario, pape de 1198 à 1216, n'avait rien d'autre à foutre que dénicher en ces temps de croisades un antéchrist en la personne du prophète de l'ennemi Sarazin :
MAOMETIS = 40 + 1 + 70 + 40 + 5 + 300 + 10 + 200 = 666 (à noter que le T vaut ici 300 et 100 pour Luther, regardez, c'est le jeu des n erreurs…)
En résumé à force de chercher la petit Bête pour trouver la grosse, on en est arrivé au 11 septembre et autres massacres chroniques !

En fait, l'histoire, la vraie, va vous faire froid dans le dos

Ah Ah, mes très chers amis qui suivez mes chroniques… N'avez-vous point remarqué une nuit de sabbat dans la Fantastique de Berlioz, quelques créatures maléfiques dans le Faust qui inspira la sonate de Liszt, ou encore quelques terreurs infernales dans le Dies Irae du requiem de Fauré... Ouiiii, Je vous vois frissonner. Qui infiltre les maléfices dans ses nobles lignes, d'articles en articles?
Claude Toon ? Oh rien de plus que Clode Toon ou encore Cl6de T66n ! Non Big Bad Pete, ne te poile pas, ce n'est pas fini, CldeTn n'est pas du rabiot alphabétique. On a découvert dans un temple de Petra, au fond à droite derrière le stock d'amphores de résineux de Philou, un vieux manuscrit apocalyptique portant en regard du maudit 666 l'inscription Κλαύδιος ο δαίμονας αρνητικός όρος. Je garderai secret le sens… Mais sachez mes bons amis que :
Cl6de T66n - ( Κλαύδιος ο δαίμονας αρνητικός όρος ) = 666
Foxy notre hexakosioihexekontahexaphobe (definition) est en train de hurler dans son bureau… hi hi hi, tous ces posters de Rock Hudson ont la tête en bas…..Pas bêêête le diablotin Toon, hihihi !!!!
- Heuuu Wolfi... j'ai paumé une corne en me marrant... tu peux regarder sous l'armoire... 


Mais on retrouve Rockin qui a vu pour nous quelques films démoniaques, il nous en parle dés qu'il aura fini de claquer des dents....ça va Rockin ?


Oui oui, merci Claude, je viens effectivement de me faire une semaine du cinéma fantastique avec 9 films en rapport avec le sujet du jour (pourquoi 9 ? ben c'est un 6 à l'envers..)
- "L'Exorciste" (1973) de William Friedkin ("french connection"), énorme succès au box office, et qui reste à ce jour un des films les plus terrifiants qui soit. Rappelez vous cette petite fille possédée hurlant des insanités d'une voix rauque sur le prêtre exorciste puis se collant au plafond, et sa tête tournant à 180°.... brrrrrrrr!
- "La malédiction"(1976), un film de Richard Donner ("Superman", "l'arme fatale")  avec Gregory Peck en diplomate américain qui découvre que son fils (adoptif) n'est autre que le fils de Satan, avec un triple 6 incrusté sur son cuir chevelu, et se jure de l'éliminer. Ça ne m'a pas vraiment fichu les jetons, mais le film réserve de belles scènes comme l'attaque des chiens de l'enfer dans un cimetière de campagne  et celle où le bambin est prit de panique à la vue d'une église.
- "Le Prince de ténèbres" (1987) de John Carpenter qu'on ne présente plus, avec Donald Pleasence, prêtre qui découvre dans une église désaffectée de L.A. un cylindre vert scellé aux propriétés inquiétantes qui s’avère contenir ni plus ni moins que le fils de Satan qui attend de renaitre . Les jeunes scientifiques qui enquêtent sur le phénomène vont bien sur connaitre des fins prématurées et violentes. Un film plutôt flippant à l'ambiance glauque; à noter une pige d'Alice Cooper en   clodo zombifié.

- "Le jour de la bête (1995) de l'espagnol Alex de la Iglesia ("un crime farpait", "action mutante", "mes chers voisins" ), dans lequel un prêtre qui a réussi à déterminer la date d'arrivée de l’Antéchrist sur terre se lance à sa recherche aidé d'un fan de métal et d'un médium bidon de la télé. Une galerie de personnages déjantés et un humour noir jubilatoire en font un grand moment de ciné bis, porté par une bande son bien métallique aussi.
- "Rosemary's baby", un vrai classique signé Polanski (1968) d'après un livre d'Ira Levin avec Mia Farrow et John Casavettes. Rosemary découvre avec angoisse que ses voisins seraient en fait membres d'une secte satanique et que l'enfant qu'elle porte pourrait bien être le fils du diable. N'attendez pas un film d'horreur gore mais un climat oppressant qui va crescendo. La peur suggérée , c'est la pire et bien plus efficace que des seaux d'hémoglobine et des tonnes d'effets spéciaux.
- "la 9ème porte", encore Polanski (1999) avec Johnny Depp qui recherche un manuel d'incantations sataniques pour le compte d'un collectionneur de livres rares traitant du diable, il va vite se rendre compte que ce livre est réellement maléfique, en attendant j'ai décroché assez vite devant les incohérences du scénar, malgré une bonne réalisation..

- "les vierges de Satan", un classique de la Hammer (1968) de Terence Fischer d'après le roman de Dennis Weathley, avec Christopher "Dracula" Lee. Un régal pour cinéphiles amateurs de films de genre des années 50-60's, avec sectes, sabbat, incantations; le  combat du bien et du mal et une belle  reconstitution de l'Angleterre des années 20; une perle, même si on regrettera les effets spéciaux vraiment "cheap", mais quel charme !
- "Angel heart" (1987), d'Alan Parker ("The Wall", "Midnight express", "Birdy") avec Mickey Rourke et Robert de Niro. Un film noir qui baigne dans l'ambiance vaudou de la Nouvelle Orleans (on trouve Dr John sur la BO) et sans doute le meilleur rôle de Mickey Rourke en détective minable dont l’enquête se transforme en véritable descente aux enfers.

-"La fin des temps", pour finir, voila un bon gros nanar avec l'impayable Schwarzy, en ex flic qui découvre que l'Antéchrist est parmi nous. Le futur gouverneur de Californie va alors une fois de plus sauver le monde. Scénario qui tient sur un ticket de métro et pas à une énormité près, combats débiles; voila un navet absolu ! 







Oh ! Luc, qu'est ce qui t'arrive, pose ce crucifix ! T'es trop influençable, on n'aurait pas dû te confier tous ces livres à lire:


Ce livre... Satan l'habite ! 

Vade retro Satanas ! comme disait Diabolo (les moins de 40 piges peuvent pas comprendre...). Z'êtes drôles les gars, vous me balancez toutes ces horreurs à lire pleine de Diable, de Lucifer, de Bezébuth, de Démon, de Abaddôn, de Cerbère, de Leviathan, de Succube et d'Incube, de Belphégor, de Méphisto... j'en passe et des moins sympathiques... 

- Au chapitre littéraire, les allusions au Diable sont légions. Le premier qui vient à l'esprit est le mythe de FAUST, du nom de ce personnage qui passe un pacte avec Méphistophélès, et gagne ainsi une seconde vie, ou l'éternité, tournée vers les plaisirs. Le dramaturge Christopher Marlowe (qui n'est pas un cousin de Philip...) et Goethe, en ont retranscris des versions célèbres, elles mêmes adaptées au cinéma (LA BEAUTE DU DIABLE, Gérard Philipe).
- Le mythe de Faust est présent dans de nombreuses oeuvres, comme LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY d'Oscar Wilde, l'idée du "pacte avec le Diable" étant une figure récurrente en littérature, même Jules Verne y a recours dans MAITRE ZACHARIUS OU L'HORLOGER, où il est question de stopper le temps.
- Une des oeuvres les plus célèbres dans cet thématique est LA DIVINE COMEDIE, de Dante, une série de poèmes divisée en trois grands chapitres : l'Enfer, le Purgatoire et le Paradis. Une somme colossale, écrite vers 1320, en italien (et non en latin) dans laquelle ont puisé un nombre incalculable de romanciers et scénaristes. 
- Pour son premier roman, George Bernanos écrit dans SOUS LE SOLEIL DE SATAN la lutte de l'abbé Donissan contre les tentations du Mal, personnifié par une jeune fille, Mouchette.
- Citons aussi le classique russe de Mikhail Boulgakov, LE MAITRE ET MARGUERITE, édité en... 66 (il en manque un !) un bouquin absolument fabuleux, que Mick Jagger a lu avant d'écrire Sympathy for the Devil. On y suit en Russie, dans les années 30, les malversations d'un prétendu magicien et de sa bande, secondé par un chat parlant, qui s'attaque à l’intelligentsia littéraire. La partie centrale du livre nous renvoie à Jérusalem, avec Ponce Pilate...
- En 1988, l'écrivain Salman Rushdie publie LES VERSETS SATANIQUES, narrant l'histoire de deux rescapés d'un crash, prenant l’apparence de l'Ange Gabriel pour l'un, et de Satan pour l'autre. Salman Rushdie était parti d'un verset du Coran, et on se souvient de l'émotion suscitée dans le monde musulman, et de la fatwa lancée à son égard (et toujours en vigeur) obligeant l'auteur à vivre en clandestinité.
- Citons aussi Baudelaire et ses LITANIES DE SATAN, Mark Twain et son MYSTERIOUS STRANGER (roman inachevé), et bien évidemment une ribambelle de thrillers fantastiques, avec le maître Stephen King dont les sous-entendus diaboliques se retrouvent dans CARRIE, Jay Anson et son AMITYVILLE LA MAISON DU DIABLE, et tous les thrillers à la Grangé et Cie, qui régulièrement nous font le coup de la confrérie démoniaque, sans oublier Graham Masterton et son humour diabolique qui se préoccupe du "petit chez soi" du démon suprême dans LE TRÔNE DE SATAN et LE MIROIR DE SATAN. Par contre, LE DIABLE S'HABILLE EN PRADA, le gros succès de Lauren Weisberger n'a rien a voir avec tout ça ! Terminons avec Jacques Cazotte, écrivain guillotiné en 1792, avec son roman LE DIABLE AMOUREUX, considéré comme un des premiers écrits fantastiques. 

6 commentaires:

  1. Big Bad Pete6/2/12 09:01

    "Diabolique, patron !"
    Une caisse de Champomy à qui me dit d'où vient cette réplique...
    :o)

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  2. Je risquerais Signé Furax ???

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  3. Big Bad Pete6/2/12 09:10

    Mea culpa... j'aurais du me bouger le popotin pour vous causer de ceci :
    http://www.amazon.fr/product-reviews/2910196607/ref=cm_cr_pr_hist_2?ie=UTF8&showViewpoints=0&filterBy=addTwoStar
    et ça : http://www.amazon.fr/review/R30AB09WVUR173

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  4. Big Bad Pete6/2/12 13:13

    "Diabolique, patron !" C'est ce que dit toujours le sous-fifre (Peter Falk) du Professeur Fatalitas (Jack Lemmon) dans la "Grande course autour du monde" de Blake Edwards

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  5. Big Bad Pete6/2/12 13:18

    C'est ce qui a inspiré Satanas et Diabolo : http://www.youtube.com/watch?v=rmHDQolUvsE

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