Que peut-il y avoir de mieux, pour officialiser son retour, qu’offrir à ses fans, ce que la plus part d’entre eux avaient fini par ne même plus envisager : Un enregistrement public. Autrement dit, un Live !!! Et bien voilà qu’en 2006, Whitesnake réactivé, David et les siens décident d’immortaliser cette réunification… En son et en images.
In The Still Of The Night est le témoignage d’une prestation sans failles aux allures de Best Of, toutes périodes confondues. Et du Classic il y en a !! Si l'on ajoute à cela une image d'excellente qualité, doublé d'un son époustouflant, le tout servi par une formation visiblement ravie de jouer un tel répertoire, en même temps que celui d'accompagner l'un de ses maîtres (chanteur), et le plaisir est alors total.
A la vue d'un tel professionnalisme et de cette énergie purement contagieuse, ou Coverdale, tel un aimant, magnétise et hypnotise un public qui en redemande, vous comprendrez qu'il ne vous reste qu'une seule chose à faire, vous ruer sur le produit en question.
Ben oui mais bon !! 60 piges cette année quand même le Cov’
Quand déjà sonne l'heure du rappel...
Faisant suite à la parution de son premier DVD Live, Whitesnake propose, un peu plus tard, un nouveau témoignage de son come back scénique. Quel intérêt y a-t-il de sortir un tel produit allez vous me demander ? Car d'intérêt(s) en effet il y a.
Tout d'abord, et pour tout amateur de bel objet, ce double album est une pure merveille d'esthétisme. Le relief brillant du logo sur un fond noir mate est du plus bel effet.
Mais ce qui nécessite avant tout cet achat, c'est évidemment ce qu'il contient.
Non content de nous proposer l'intégralité du set du DVD, ce nouveau Live nous gratifie en plus de 4 morceaux supplémentaire, dont 2 étant parmi les meilleurs du répertoire du groupe. "Slide it in" et le monstrueux "Slow & Easy" vous feront, à n'en point douter, dresser... le poil. On remarquera d’ailleurs que concernant « Slide it in », le morceau est ici augmenté, en son milieu, d’un joli break aérien à base d’un jeu de guitare slide soutenu par un chant tout en retenu. Si cela pourra surprendre de prime abord, je trouve pour ma part que cette petite retouche renforce encore d’avantage la qualité originelle de ce titre emblématique.
L'autre raison qui pourra motiver cette acquisition, c'est que Whitesnake nous offre aussi 4 inédits loin de faire figure de remplissage, quand bien même ils ne soutiendraient pas la comparaison avec des titres de la trempe de «Ready and willing», «Take me with you» ou «Love ain’t no stranger».
De la même façon, si ce Whitesnake là est aussi plus proche de l’ère Sykes et Vandenberg, il serait tout aussi bon de faire remarquer qu’avec cette énième mouture (mue) du serpent blanc, la formation tend souvent à renouer avec l’esprit des grandes heures de l’ère Moody/Mardsen. Le meilleur des deux mondes finalement.
Deux points me fâchent quand même avec le produit. L'ordre aléatoire des morceaux qui ne respectent aucune logique, et le son vraiment particulier (cru) des toms (et uniquement des toms) du batteur fou Tommy Aldridge. Le reste de la production demeurant, elle, excellente.
CD 1
1 Bad boys
2 Slide it in
3 Slow and Easy
4 Love ain't no stranger
5 Judgement day
6 Is this love
7 Blues for Mylene (solo Guitare)
8 Snake dance (inédit instrumental)
9 Crying in the rain
10 Ain't no love in the heart of the city
11 Fool for your loving
12 Here I go again
13 Still of the night
CD 2
1 Burn/Stormbringer (Deep Purple)
2 Give me all your love tonight
3 Walking in the shadow of the blues
4 The deeper the love
5 Ready and willing
6 Don't break my heart again
7 Take me with you
+ Bonus inédits studio: Ready to rock/ If you want me/ All Iwant is you/ Dog.
+ deuxième version de "Crying in the rain" Live (dans une version avec Drum solo inutile).
Ces titres n’apparaissent pas dans le DVD In the still of the night
Halte aux cadences infernales! J'ai à peine le temps de mettre un post sur TYA de Bruno, qu'il y a un article sur Whitesnake. Bon. Je n'avais rien d'eux; j'ai acheté Lovehunter et Trouble. Bof...De bons passages, mais très très inégal, et certains morceaux insupportables (compositions falotes). De plus, les tics vocaux de Coverdale (feulemnets...etc) deviennent vite agaçants. Il gagnerait, et nous aussi, à être plus sobre.
RépondreSupprimerplaisir des oreilles et ...des yeux perfect
RépondreSupprimerun des rares groupe de hard que j'apprécie
RépondreSupprimerchristian s
La version "burn/strombringer" issue de ce disque est très efficace, un grand moment. Et rappelons que le live de 1978/80 est tout bonnement impeccable, à possèder.
RépondreSupprimerC'est pour que je l'achète, que tu dis ça? Shuffle échaudé craint l'eau froide.
RépondreSupprimerBien sûr que c'est pour ça Shuffle ! D'ailleurs, dans la foulée, procures toi d'urgence "Slide it in" dans son édition 25ème anniversaire. C'est un ordre !!!
RépondreSupprimerChristian: Comme pour n'importe quel style, le Hard est un vaste terrain de jeux. Donc si tu aimes Whitesnake, d'autres groupes devraient également te séduire. Je pense évidemment à Bad Company, forcément (voir du côté de chez Philou), ou bien Thunder... Pour ne citer que ces deux là.
Burn/Stormbringer ouvre le DVD. 8/9 minutes de folie pure. Ça tue !!!
Here's a song for yeeeeuuuuuu...
RépondreSupprimerLe live 78/80, redis-je, c'est du nickel, pas bourrin, bluezy à souhait, avec une paire de gratteux au top. Le truc qui coule tout seul. Et sur le CD 2, c'est Ian Paice aux drums...
On m'avait prêté le DVD, et effectivement, j'avais passé un bon moment. Assez bien filmé, bonne prise de son, et bonne prestation. Doug assure. Cette mouture me semble bien supérieur à celle où figurait Sykes.
RépondreSupprimerPour ceux qui aime bien Aldrich, il avait fait, dans les 90's, deux albums solos très sympas. Pas excellent de bout en bout, mais de très bonnes choses.
Qui c'est ce Muriah Duffy ? Un lien avec la chanteuse galloise ?
Le live de 78/80, c'est bien "live in the heat of the night" ? Parce je croyais que Mr. Ian Paice était présent sur les 2 faces. C'est le seul batteur en photo. Maintenant, Paice n'est rentré qu'en 79.
RépondreSupprimerLe fameux live de Whitesnake c'est " Live in the heart of the city" avec un premier disque enregistré en novembre 1978, et le second en juin 1980. En 78, c'est Dave Dowle à la batterie. On trouve une version double CD (identique au vinyle) ou simple CD, avec un titre en moins sur le concert 78 : "Come on" qui ouvre les hostilités. Ce titre étant aussi joué sur le CD de 1980, c'est un moindre mal. Et oui, Bruno, je confirme que seul Ian Paice est en photo, et crédité sur la pochette. Pourtant dave Dowle était là à la création du groupe, et a enregistré deux albums, non ?
RépondreSupprimerOui, tout à fait, c'est bien Dowle qui est présent sur les deux 1ers opus du Serpent blanc, mais comme il n'est pas mentionné sur le double live, j'étais persuadé que la 1ère face incluait également Sir Ian Paice.
RépondreSupprimerC-à-d que j'ai fait mon apprentissage de Whitesnake avec ce double, puis à peine plus tard "Come 'n get it" (les 1ers a être distribué en France). Donc, pendant longtemps, pour moi, Whitesnake était le groupe qui comptait le plus de ex-Purple au m², et ce, depuis sa genèse (le 1er opus étant considéré comme un disque solo).
Je ne sais pas ce que avez tous avec Whitesnake...Je viens de réécouter Lovehunter et d'écouter Slide in it sur Deezer. Sur ce dernier, ca va aller vite: gros hard FM ricain calibré pour les stades, come il en existe des centaines. Si vous aimez ce style il a beaucoup mieux en plus pêchu, et moins emphatique: 38 Special à parir de Wild eyes southern boys/Rockin it to the nignt. Première remarque sur la période Lovehunter: on lit partout que Whitesnake est gorgé de blues, voire de soul...Ah bon? Ah oui, il y a le mot blues dans le deuxième morceau; ça doit être ça. Deuxième remarque: Coverdale, s'il sait chanter, ne sait pas composer. Le seul morceau écoutable est celui qu'il n'a pas composé (le 3e); ça va à peu près pour les intros et le premier couplet, mais dès qu'on arrive au refrain, c'est la catastrophe: on est à mi-chemin entre la beuglante de stade et la comptine enfantine (fredonnez les airs, juste pour voir) avec un pathos insupportable (le pompon, c'est Long way from home, Medecine man, c'est assez consternant aussi). Troisième remarque: il y a trop de breaks et de ponts, annoncés quasiment à la sirène, dans les morceaux, qui n'ont plus aucune unité. Un exemple: le groupe arrive à massacrer un gros rock classique (a priori inratable pour ces soi-disant remarquables musiciens), Rock and roll woman, qui se casse la geule au milieu,avec le changement de rythme. Troisième remarque: les guitaristes sont sous l'éteignoir; on ne leur laisse que les gros riffs bien gras et bien soulignés et les interventions de Lord sont assez quelconques (euphémisme). En résumé, White snake fait partie de ces groupes de hard (je n-y accole pas le terme rock, Whitesnake me paraissant incapable d'aligner un vieux Chuck Berry par exemple) dit mélodique sans aucune réelle filiation avec le blues, qui ont fleuri à la fin des années 70 et au début des années 80 (comme les Sorpions, par exemple, tiens encoe une sale bestiole, sûrement un hasard....). Ces deux disques à la réflexion encombrent mon armoire et quand ça va me prendre, ils vont dégager. Voilà. J'attends vos réactions, retranché chez moi, armé (je suis redoutable la sarbacane), avec des vivres pour une semaine.
RépondreSupprimerJ'oubliais. Par charité, je n'ai pas parlé des paroles. Bien que je n'y attache pas grande importance, le dénommé Coverdale mérite largement sa place au panthéon des gros cons. "Aux bourrins du rock, la Connerie reconnaissante". A coté,Ted Nugent peut être qualifié de pindarique. En réalité, notre ami aurait dû suivre le destin que lui avait traçé la Providence en le dotant de ce nom. Il était destiné à faire des reprises (covers)dans des orchestres anglais pour samedis soirs.
RépondreSupprimerPffff !!! Shuffle tu es désespérant, déprimant, un peu pénible aussi, puisque rien (ou si peu) ne parvient à trouver grâce à tes oreilles. Tu parviendrai même à faire débander un Rocco en pleine action. Je n'ai jamais vu ça ! Bon personnellement je jette les armes te concernant, tu es braiment trop gris, et j'ai eu suffisamment mon lot de moments pénibles en 2010 pour ne pas avoir envie qu'on m'en rajoute. 2011 sera pour moi placé, plus que jamais, sous le signe du positivisme. Gardes donc tes cartouches pour d'autres, tu me rendra un grand service. Bye !
RépondreSupprimerBruno et Luc: Merci pour vos précisions de sur "Live in the heart of the city". j'étais jusque là dans le même esprit que toi, Bruno, à propos de l'excellent Ian Paice sur ce Live.
RépondreSupprimerHuria Duffy, avant d'être intégré chez Whitesnake, cachetonnait chez cette petite P*** de Christina Aguilera. C'est la seule info que je peux t'apporter le concernant Bruno. Bien peu de chose finalement. A+ les gars !
Take it easy (Eagles, en voilà un groupe qu'il est bon), il ne s'agit que de musique. Et il n'y a strictement rien de personnel dans ce que je dis. opurquoi y en aurait-il d'ailleurs? Même si effectivement le groupe me paraît surfait, je crois que tout le monde a compris que je me suis spécialisé dans le rôle du ronchon jamais content capable de la mauvaise foi la plus absolue. Et ta remarque "je n'ai jamais vu ça" me prouve que mon "créneau" ou ma "niche" pour parler comme les executive managers, est la bonne. Je précise quand même que grâce aux chroniques des uns et des autres, je suis en train de me constituer une solide collection de Cheap Trick et de Thin Lizzy, groupes que j'avais totalement ratés à l'époque. Comme quoi je ne suis pas perdu pour le hard.
RépondreSupprimerShuffle, sur le live 78/80, si "Might just take your life" n'est pas gorgé de soul, je m'en bouffe une. De même que "Trouble". Et si "Lie down" n'est pas un rock pur jus, je me bouffe l'autre. Et si... ben, non, je n'ai plus de munition...
RépondreSupprimerSi Ramone The Snake passe par ici, ce n'est pas une sarbacane qu'il te faudra, mais un abri anti-atomique !
Parmi les groupes qui ont sévi à la fin des années 70, je pense que Whitsnake est un de ceux le plus marqué par la musique "bluezy", que j'opposerais à ceux qui vont aller vers le "heavy métal". A réécouter les enregistrements studios des 4 ou 5 premiers albums, on est ni plus ni moins dans une veine heavy-rock-blues... Pour les albums récents, je ne me prononce pas, je ne les ai pas, et entre temps, le hard-FM est passé par là, et a fait pas mal de dégâts...
Nous sommes apophatiquement d'accord: ce n'est pas du heavy metal. Might just take your life, c'est d'abord du Deep Purple. J'ai aussi (malheureusement) Trouble et j'en dirais la même chose que Lovehunter. Le terme "sévi" est parfaitement adapté à Whitesnake, là aussi nous sommes d'accord (comme quoi il n'y a aucune raison de se fâcher...). Et je n'achèterai pas le live, qui m'a été déconseillé par une vieille connaissance, un certain Robert P. Prévenez Ramone, j'ai mis des pièges à loup partout.
RépondreSupprimerPour ma part, le meilleur demeure "Ready & Willing". Pour en rajouter une couche, aucun des disques du Serpent ne me satisfait de bout en bout ; à part peut être "Ready" et le live (à réécouter). Toutefois, il y a dans son répertoire de très bonnes choses.
RépondreSupprimerQuant aux paroles, effectivement, Coverdale n'a jamais eu la réputation d'être un poète. Dans le Hard-Rock, rare sont ceux qui ont pondu des textes intéressants. Thin-Lizzy ?
Cheap-Trïck et Thin-Lizzy sont d'un autre niveau, mais chez ces américains, il convient de faire un tri (de 83 à 90).
Le live de Thin Lizzy, que je ne connaissais pas, est parfait de bout en bout. Compositions, mise en place (enchaînement sax/guitare sur Dancin in the moonlight),un grand Still in love with you. Lynott chanteur plus limité mais bien plus vrai, pas d'esbroufe. Thin Lizzy me fait d'ailleurs bien plus souvent penser à Graham Parker and The Rumour (c'est le saxo du groupe qui vient donner du bec)qu'à un groupe de hard classique. J'ai vu qu'allaient sortir des éditions Deluxe dudit live et de Jailbreak.
RépondreSupprimersur Thin Lizzy, entierement d'acc avec Shuffle, sans probleme largement au dessus du lot, et plus qu'un groupe de hard. Quant à Whitesnake, je sors mon joker pour ne pas m'attirer les foudres de Ramone, Shuffle tu me fais une place dans ton abri? j'apporte du cidre et des crepes..
RépondreSupprimerCa roule. Je suis une machine à manger les crèpes. Je suis pas très cidre, mais bon...
RépondreSupprimerAutre chose. On fait comment pour devenir membre? je bloque dès qu'on me demande de m'inscrire avec un compte (Google, Yahoo,Facebook..). Inutile de préciser que je n'ai de compte nulle part et surtout pas sur Facebook. Est-ce qu'on gagne quelque chose?
RépondreSupprimerRobert P. étant un cousin, je me permets de vanter parmi les live "burnés" des années 70 finissantes celui de Mother's Finest avec des titres comme Fire (même intro que Saturday Night de Ganafoul), Mickey's Monkey décalque groovy de Custard Pie du Zep, des reprises de Magic Carpet Ride de Steppenwolf ou Somebody to Love de l'Airplane.
RépondreSupprimerAh! Mother's Finest, on a affaire à un connaisseur. Je n'ai d'aileurs jamais compris pourquoi à l'époque ce groupe a eu l'étiquette rock sudiste. J'ai le premier ou le deuxième en vinyle (pochette rouge, petites photos)pas mal non plus. Gros son, excellente chanteuse.
RépondreSupprimerAaarrghhh...!! Y'en a marre des Deluxe ! Marre de ces rééditions qui prenne la place de 3 CD (commence à manquer sérieusement de place - va falloir que je vire les bouquins de ma femme et de mes gosses - mais pas les miens. Ben quoi ?).
RépondreSupprimerD'autant plus, que tous ces bonus, alternative take, fonds de tiroir, après une ou deux écoutes, on les oublis vite. Que l'on fasse des disques à part avec toutes ces pistes, et que l'on garde les disques originaux tels qu'ils sont. Préfère 100 fois un skeud de 33 minutes qui tourne en boucle, qu'un pavé de 70 minutes où l'on capté que les 3/4.
Malgré tout, pour le "Live & Dangerous", je vais débarquer illico presto chez mon disquaire lundi matin (vais trouver une excuse pour m'absenter du boulot...) pour mettre la pression : "P'tain !! Mais où qu'il est ce skeud ?? Mais c'est quoi cette boutique ?? Pas encore paru ?? M'en fout !!!"
Depuis le temps que j'attend que ce magnifique double live est une réédition remasterisée.
Mother's Finest ? Très bon live. A conseiller également "Subluxation", un live du début des 90's. Peut être même meilleur, avec un son plus charnu.
RépondreSupprimer(Monkey est un braqueur de plans et de riffs - mais il le fait bien)
pour répondre a ta question Shuffle, il semblerai qu'il soit impossible de devenir membre sans un des comptes que tu cites, je mène l'enquete; et non il n'y a rien à y gagner; juste pour nous, plus on a de membres et mieux le blog est référencé par les moteurs de recherche. IL y a aussi quelque part une fonction permettant aux lecteurs qui le desirent d'etre avertis par mail quand nous publions un truc, mais je ne sais pas trop où, j'enquete là dessus aussi...(je te verrai bien sur Facebook pourtant..)
RépondreSupprimermoi je vote LUC (et il le sait...) , pas besoin de te mettre à l'abri.... Thanks pour le clin d'oeil et encore bravo pour votre blog, vidéos, résumés de concerts ETC , çà doit être du boulot. Whitesnake est mort il y a bien longtemps, et le pire est à venir : un nouvel album, avec un titre HYPER original, des PAROLES en béton (comme dirait RENAUD), une musique d'ENFER : "love will set you free", encore pire que le dernier. Oui Dave the Duck tient bien les fûts sur le LIVE légendaire,et aussi sur "Ready and willin'" avant le lifting, avant la chemise blanche ouverte sur un médaillon (comme dirait Michel Delpech), et la mise en plis loréal... mais peu importe, je suis ravi de voir 28 commentaires sur le Serpent. Biz à tous, et wish you well, mais accrochez vous parce que le prochain album n'a plus rien à voir avec un serpent, mais plus avec un vers de vase. RAMONE
RépondreSupprimerOn peux dire que tu t'es fait désirer (attendre) Ramone !!
RépondreSupprimerComme tu le soulignes, un nouvel album doit voir le jour au mois de Mars. Je crains comme toi, qu'il n'y ait rien de bien fameux. Le peu que j'ai pu entendre m'a tout de même semblé plus original que "Good to be bad" le bien nommé. Et puis quand j'apprends qu'un certain Brian Tichy est aux baguettes... J'ai plus facilement l'envie de lui donner (une dernière fois sans doute) sa chance à cet album. Mais si le contenu équivaut à l'absence totale d'originalité (de nouveauté) de la pochette, ma déception risque d'être grande. Tout ce qui brille n'est pas d'or... Comme chacun sais.
Tic tac tic tac tic...