23 ans d'âge !
Découvert dans la presse, je me suis procuré ce deuxième album des Black Stone Cherry dès sa sortie en bacs, n'étant pas allergique à quelques nouveautés de temps à autres... Surtout quand la pochette, et tout ce qui m'avait été rapporté sur le combo, me laissait entrevoir un Hard Rock aux forts accents Sudistes et Blues. En définitif, je ne l'ai pas ressenti autant que ça.
Ce qui étonne de suite, c'est la tessiture vocale du chanteur : A la croisée d'un Chris Cornell (Soundgarden, Audioslave) et d'un Zack Wylde version Black label Society. Rugueuse, nourrie au Whisky 23 ans d'âge, l'effet est garanti et la surprise de taille. De même, le son des guitares, gras et poisseux, m'invite de nouveau à cette même filiation : celle du guitariste d'Ozzy Osbourne. Cela fait-il de cet album un disque à ranger automatiquement dans la catégories Blues et/ou Sudiste ? Je ne le crois pas, et qu'importe finalement... Pourvu qu'on ait l'ivresse.
BSC en rang serré. Vous avez dit le Quo ? Non ! Black Stone Cherry.
L'album, porté par une production éclatante (genre "mur du son") s'ouvre sur un morceau, "Blindman", que l'on rangera sitôt dans la catégorie grosse baffe. Le second, "Please Come In", confirme que le Hard Rock houblonné des américains est de ceux qui nous conduisent irrémédiablement vers le nirvana auditif (assurément l'un de mes titres préférés). S'en suit un autre bon titre, "Reverend Wrinkle", bien musclé faisant rapidement place à une nouvelle déflagration, du genre à faire réagir instantanément les foules.
Puis vient la première ballade. Intro piano, puis cordes, "Things My Father Said" est un joli morceau, mais je ne peux cependant m'enlever de l'esprit que voilà bien le genre de titre à finir sur n'importe quelle B.O de film de super héros (plutôt en générique de fin d'ailleurs).
Ce qui étonne de suite, c'est la tessiture vocale du chanteur : A la croisée d'un Chris Cornell (Soundgarden, Audioslave) et d'un Zack Wylde version Black label Society. Rugueuse, nourrie au Whisky 23 ans d'âge, l'effet est garanti et la surprise de taille. De même, le son des guitares, gras et poisseux, m'invite de nouveau à cette même filiation : celle du guitariste d'Ozzy Osbourne. Cela fait-il de cet album un disque à ranger automatiquement dans la catégories Blues et/ou Sudiste ? Je ne le crois pas, et qu'importe finalement... Pourvu qu'on ait l'ivresse.
BSC en rang serré. Vous avez dit le Quo ? Non ! Black Stone Cherry.
L'album, porté par une production éclatante (genre "mur du son") s'ouvre sur un morceau, "Blindman", que l'on rangera sitôt dans la catégorie grosse baffe. Le second, "Please Come In", confirme que le Hard Rock houblonné des américains est de ceux qui nous conduisent irrémédiablement vers le nirvana auditif (assurément l'un de mes titres préférés). S'en suit un autre bon titre, "Reverend Wrinkle", bien musclé faisant rapidement place à une nouvelle déflagration, du genre à faire réagir instantanément les foules.
Puis vient la première ballade. Intro piano, puis cordes, "Things My Father Said" est un joli morceau, mais je ne peux cependant m'enlever de l'esprit que voilà bien le genre de titre à finir sur n'importe quelle B.O de film de super héros (plutôt en générique de fin d'ailleurs).
Le groupe reprend du poil de la bête sur le très bon "Bitter End", abandonnant (provisoirement croit-on) son Hard Rock des débuts pour s'immiscer vers des contrées plus métalliques.
Métal ou pas, à partir de là, la suite accroche en tout cas moins mes oreilles. La jubilation du début a désormais cédée sa place à des morceaux plus "passe partout", et qui ont plus de mal à maintenir mon attention de la même manière. Comme si soudain, Black Stone Cherry avait viré de bord, choisissant d'écouter certaines sirènes de marketing.
Il en résulte, 2 ballades (sur 3 !!) convenues, et des compos qui flirtent parfois, aussi, avec le Hard d'un Nickelback (pas vraiment mon truc ça). Pas mauvais pour autant, mais plus clairement axé vers cet aspect dit "commercial" (ce n'est pas un gros mot je vous rassure), ces quelques titres cassent un peu l'unité de titres les plus pêchus de F&S.
Ma note de 3/6 peut laisser à penser que l'album est moyen... Il n'en n'est rien. Folklore and Superstition est un album plutôt sympa, et que chacun appréhendera à des degrés divers, selon ses propres aspirations.
Métal ou pas, à partir de là, la suite accroche en tout cas moins mes oreilles. La jubilation du début a désormais cédée sa place à des morceaux plus "passe partout", et qui ont plus de mal à maintenir mon attention de la même manière. Comme si soudain, Black Stone Cherry avait viré de bord, choisissant d'écouter certaines sirènes de marketing.
Il en résulte, 2 ballades (sur 3 !!) convenues, et des compos qui flirtent parfois, aussi, avec le Hard d'un Nickelback (pas vraiment mon truc ça). Pas mauvais pour autant, mais plus clairement axé vers cet aspect dit "commercial" (ce n'est pas un gros mot je vous rassure), ces quelques titres cassent un peu l'unité de titres les plus pêchus de F&S.
Ma note de 3/6 peut laisser à penser que l'album est moyen... Il n'en n'est rien. Folklore and Superstition est un album plutôt sympa, et que chacun appréhendera à des degrés divers, selon ses propres aspirations.
Pour finir sur une note plus positive, je me dois de faire remarquer que le bagage technique (le batteur en tête) et musical dont font déjà preuve ces minots de 23 ans est réellement impressionnant !! Superstitieux, je touche du bois pour que le groupe renforce encore d'avantage son crédit sur l'album suivant. Affaire à suivre.
"Blind Man" (avec la Zakk Wylde Attitude assurément)
Très bon ce skeud! mais je continue de préférer le 1er plus spontané. Quand ils veulent pour le 3eme!!
RépondreSupprimerPas trouvé effectivement grand chose de Sudiste chez eux. Cela m'évoque plus Pearl Jam, Staind. Quoiqu'en fouillant un peu plus sur le net, certains trucs me rappellent Hogjaw.
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