George Harrison, le plus sage des Beatles. Celui qui fera le chemin
spirituel le plus profond.
Georges Harrison, le Doux Seigneur
Il paraissait le plus discret des quatre de Liverpool, Lennon et McCartney ne lui donneront que très rarement l’occasion de s’exprimer au sein du groupe, on ne trouvera que 22 titres composés de sa main. Mais son influence ira en grandissant dans la musique des Beatles. Il est tout d'abord le guitariste solo et l'un des quatre chanteurs du groupe. Lui aussi intégrera de la spiritualité et des instruments de musique indienne, comme le sitar, dans l'univers musical des Fab Four. Mais il composera surtout quelques-unes des plus belles chansons durant les dernières années du groupe, comme ”While my guitar gently weeps“, ”Something“, ”Here comes the sun“ ou ”Taxman“.
Ringo et George |
Harrison - Lynne - Clapton |
”Cloud 9“ avec Clapton à la guitare, Elton au piano et un des sax les plus demandés sur le marché, Jim Horn, avec un bon titre pour ouvrir cet album. ”That’s What it Takes“ co-écrit avec Jeff Lynne et Gary Wright (clavier des Spooky Tooth) un agréable morceau. ”Fish on the Sand“ un peu plus rock, mais on reste dans le même registre côté rythmique. ”Just For Today“ est une longue ballade nostalgique tout à fait dans son style. ”This is love“ aurait pu être du Beatles. ”When We Was Fab“ : tout est dans le titre (Quand nous étions fabuleux) avec un clip ou des clins d’œil aux Fab Four qui fourmillent de partout.
Selon la rumeur Paul McCartney serait
apparu dans le costume de morse, jouant la basse.
”Devil’s Radio“ et ”Wreck of the Hesperus“ bougent un peu plus, Harrison dans son domaine de prédilection, des
chansons bien construites avec une musique qui ne déborde pas de la
partition. ”Breath Away From Heaven“ et sa sonorité très asiatique. ”Got My Mind Set On You“ est une chanson de
Rudy Clark enregistrée pour la première
fois en
1962. Ce sera pour Harrison son
troisième et dernier n°1 après ”My
Sweet Lord“ et ”Give Me Love (Give Me Peace On Earth)“ en 1973.
Vu ce matin à Télé Matin un reportage sur McCartney illustré par...Here comes the sun )))
RépondreSupprimerIls avaient carrément fait un montage pour le synchroniser (au piano!!!) avec le morceau. Trop fort.