MARDI : Pat nous a rappelé que Ange est le plus ancien groupe de rock français, fort de magnifiques prestations en festivals, ils accouchent de album qui va les faire décoller « Le cimetières des arlequins » où les frangins Decamps flirtent avec pop française et prog anglais.
MERCREDI : Bruno a sérieusement fait monter la température avec Mother’s Finest, groupe multiracial et surtout multi-genres, puisque dans « Mother’s Finest » (oui car leurs albums portent le même nom, c’est pratique) ils mêlent heavy-rock costaud au funk abrasif, ça tire dans tous les coins, un régal !
JEUDI : Benjamin a navigué aux sources du jazz moderne en compagnie de Louis Armstrong, chanteur et trompettiste de génie qui avait révolutionné la donne au mitan des années 20 en introduisant notamment le concept de solos dans la musique. Même les guitare-héros les plus chevelus peuvent lui dire merci.
VENDREDI : nous sommes allés revoir avec Luc le chef d’oeuvre (oui oui, terme non galvaudé ici) de Ernst Lubitsch « To be or not to be », comédie drôlissime, imparable, diaboliquement construite, qui porte pourtant sur un sujet peu rigolo, le nazisme. La Lubitsch’s touch a encore frappé !
👉 La semaine prochaine, de la country/folk avec Kate Wolf, un concerto de piano de Norbert Burgmüller, une perle oubliée du hard rock avec Mother Station, et un film dans le film dans le film avec Cédric Kahn. Programme idéal pour finir ce bloody janvier, qui n’était pas dry pour tout le monde.
Bon dimanche.
Merci pour le "dispatching" reggae / funk, voila qui est plus cohérent.
RépondreSupprimerC'était à faire, maintenant c'est fait !
RépondreSupprimerEt ce qui est fait n'est plus à faire ! :-)
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