MARDI : Pat a posé sur sa platine le classique de Dire Straits « Love over gold » l’album de tous les succès, celui aussi où l’électronique commençait à prendre le pas sur le picking country. Composé de 5 longs titres dont le majestueux « Telegraph road » qui dure le temps de se prendre deux buts par des suisses.
MERCREDI : Bruno, en slip moule burnes et cape rouge, vole au secours de REO Speedwagon, qui avant de sombrer dans le Rock FM faisandé et ballades larmoyantes, avait gravé une première galette de heavy-boogie rock, un essai hélas non transformé, le groupe rentrera au vestiaire plus tôt que prévu.
JEUDI : Claude nous a fait découvrir un compositeur polonais, Ignacy Feliks Dobrzyński, pas le plus célèbre, un contemporain et pote de Chopin, sa « Symphonie n°2 » est pleine de vitalité, le genre d’œuvre à écouter avant une séance de penalty, pour éliminer les tensions, le stress et se requinquer l’esprit.
VENDREDI : pas encore remis de la transversal à la 120', Luc s'est consolé avec plus désespéré que lui, un « Médecin de nuit » qui arpente le pavé parisien au chevet des toxicos, embarqué dans un trafic de médocs. Elie Wajeman filme un Vincent Macaigne transformé en héros de thriller plongé dans des doutes abyssaux.
💬 On se retrouve dès mardi avec des bretons à Bercy, du prog teuton, et les frères Podalydès. Bon dimanche.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire