Claude bouche le trou du lundi avec sa chronique sur un film de Joe Dante passé inaperçu en 2009 "The hole", le trou, justement. Un film fantastique qui ne fait pas dans les effets gore et plutôt bien filmé, et qui montre que le papa des fameux Gremlins n'a pas perdu la main. Un film d'ados aventureux, mais sans les crétineries (gauloiseries) d'usage dans le genre. Un programme familial !
Mardi : Rockin rendait hommage à un grand artiste du Chicago blues, le louisiannais Lonnie Brooks décédé le 1er Avril 2017 à 83 ans. Un excellent guitariste et chanteur qui connu son heure de gloire avec de formidables albums pour le label Alligator dans les années 80.
Mercredi : Bruno arrive tout vêtu de cuir sur sa moto nous parler de l'unique album du groupe The Boyzz de 1978, du brut du rugueux qui sent la sueur et l'huile de vidange ; mais hélas restera sans suite comme pour beaucoup de pépites plus ou moins oubliées.
Jeudi : avec un grand nom de la chanson française : Pat Slade, euh non pardon Alain Souchon, quoique Pat mérite aussi sa médaille par son soutien aux artistes français (sauf Michel Sardou qui nous passe un mail à l'instant pour s'en plaindre...). Revenons en à Souchon et à son quatrième album "Toto 30 ans, rien que du malheur" , en 1978 -prés de 40 ans déjà, le temps file ma pov'dame-; un bon cru un peu désabusé...
Vendredi : deuxième hommage de la semaine, cette fois c'est Luc qui revient sur la carrière de Jerry Lewis qui a fait son plus mauvais gag en nous quittant dimanche dernier ; il nous aura bien fait marrer, seul ou avec son compère Dean Martin.
Samedi : Claude retrouve le compositeur anglais Ralph Vaughan Williams déjà commenté dans des œuvres poétiques et bucoliques comme la 3ème symphonie "Pastorale". En 1934, changement complet de style avec la sauvage et inquiétante 4ème symphonie. Meilleure symphonie depuis Beethoven pour William Walton ! Peut-être pas, mais ça rugit… De la musique pure uniquement d'après l'auteur, mais avec les bruits de bottes qui commencent à menacer l'Europe, Claude n'est pas complètement convaincu. Une interprétation à la serpe du légendaire Dimitri Mitropoulos.
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