Lundi,
ça s'esclaffait tout en ronchonnant dans tous les bureaux. Chacun essayait de
monter avec plus ou moins d'adresse les gadgets dénichés par Pat. Entre les
pièces barrées sous les armoires et les petits pois sauteurs en coma dépassés sous le sèche-cheveux de Sonia,
quelle rigolade ! Pat nous avait raconté ses années Pif Gadget, Hercule le chat, Rahan, plein de héros et les
fameux gadgets concurrençant ceux des Kinder surprise. Toute la jeunesse des rédacteurs…
Mardi,
Rockin accueillait dans nos colonnes les duettistes Lionel Giardina et Fred
Woff, les deux piliers rennais de Lion Says
qui ont confié leurs sentiments et leurs projets suite à la parution de l'album acoustique "New Folk". Beaucoup de questions abordées lors de cet interview, y compris sur le Nobel
attribué à Bob Dylan. En prime la vidéo "I'm getting you" avec deux jolies
fées…
Mercredi,
Bruno démontre que la mondialisation est en marche sur des voies culturelles
avec le quatuor américano-franco-suédois Blues Pills.
La complétude des genres est au menu de leur 2ème album "Lady
in gold" : du British-blues au Hard-rock coloré de psychédélisme… À propos
de lady : une chanteuse canon et une pochette sexy… Qui dit mieux ? Cela dit, mondialisation ou pas, Bruno confirme qu'il
n'y a pas d'OPA par la Chine sur la Corse…
Jeudi,
Vincent admettait que le groupe de métal Metallica
(sans jeu de mots) a connu
des hauts et des bas, mais ne s'expliquait pas le rejet de l'album "Load" de 1996
dans lequel le groupe innovait par rapport à son style habituel. En résumé,
notre Caméléon se demande pourquoi les fans sont trop souvent allergiques aux
changements et à la remise en cause de leur style par les artistes de l'univers
rock. Idéaliste notre chroniqueur, c'est un peu vrai partout…
Vendredi,
Luc délaisse les salles obscures pour les grandes scènes et les live haut de
gamme. Cette semaine, édition tardive (mieux vaut tard…) d'un concert "Live in San Diego" réunissant
Eric Clapton et J.J. Cale en 2007. Frères ennemis colporte-t-on. Pas certain d'après Luc qui
écrit : On a donc droit à la captation intégrale, et sans bidouillage (la preuve : y’a des
couacs !) d'un récital branché sur les hits style années 70'. Même Claude,
sollicité par le patron, a apprécié. Pas borné le Classicophile, faut pas
croire… D'ailleurs il est super pote avec Vincent le hardeur (heu on parle de
rock là, attention).
Samedi,
Claude avait choisi un drôle de lieu de villégiature… Délaissant la Savoie, il
visitait l'Enfer, le Purgatoire et les annexes de la Divine Comédie de Dante…
Un voyage musical à travers la Dante Symphonie
de Franz Liszt. La quintessence de la symphonie à programme qu'il a dit le
Claude. Une œuvre tellement orchestrée qu'elle décrasse les oreilles. Hard Rock
et Franz Liszt : même combat de décibels… Mais pour varier les plaisirs, beaucoup de passages sensuels dans le 2ème cercle de l'enfer : celui de la luxure… Tiens, il y avait une place réservée avec une étiquette marquée "Rockin" !?
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