dimanche 23 octobre 2016

BEST OF INFERNAL




Lundi, ça s'esclaffait tout en ronchonnant dans tous les bureaux. Chacun essayait de monter avec plus ou moins d'adresse les gadgets dénichés par Pat. Entre les pièces barrées sous les armoires et les petits pois sauteurs en coma dépassés sous le sèche-cheveux de Sonia, quelle rigolade ! Pat nous avait raconté ses années Pif Gadget, Hercule le chat, Rahan, plein de héros et les fameux gadgets concurrençant ceux des Kinder surprise. Toute la jeunesse des rédacteurs…

Mardi, Rockin accueillait dans nos colonnes les duettistes Lionel Giardina et Fred Woff, les deux piliers rennais de Lion Says qui ont confié leurs sentiments et leurs projets suite à la parution de l'album acoustique  "New Folk". Beaucoup de questions abordées lors de cet interview, y compris sur le Nobel attribué à Bob Dylan. En prime la vidéo "I'm getting you" avec deux jolies fées…

Mercredi, Bruno démontre que la mondialisation est en marche sur des voies culturelles avec le quatuor américano-franco-suédois Blues Pills. La complétude des genres est au menu de leur 2ème album "Lady in gold" : du British-blues au Hard-rock coloré de psychédélisme… À propos de lady : une chanteuse canon et une pochette sexy… Qui dit mieux ? Cela dit, mondialisation ou pas, Bruno confirme qu'il n'y a pas d'OPA par la Chine sur la Corse…

Jeudi, Vincent admettait que le groupe de métal Metallica (sans jeu de mots) a connu des hauts et des bas, mais ne s'expliquait pas le rejet de l'album "Load" de 1996 dans lequel le groupe innovait par rapport à son style habituel. En résumé, notre Caméléon se demande pourquoi les fans sont trop souvent allergiques aux changements et à la remise en cause de leur style par les artistes de l'univers rock. Idéaliste notre chroniqueur, c'est un peu vrai partout…

Vendredi, Luc délaisse les salles obscures pour les grandes scènes et les live haut de gamme. Cette semaine, édition tardive (mieux vaut tard…) d'un concert "Live in San Diego" réunissant Eric Clapton et J.J. Cale en 2007. Frères ennemis colporte-t-on. Pas certain d'après Luc qui écrit : On a donc droit à la captation intégrale, et sans bidouillage (la preuve : y’a des couacs !) d'un récital branché sur les hits style années 70'. Même Claude, sollicité par le patron, a apprécié. Pas borné le Classicophile, faut pas croire… D'ailleurs il est super pote avec Vincent le hardeur (heu on parle de rock là, attention).

Samedi, Claude avait choisi un drôle de lieu de villégiature… Délaissant la Savoie, il visitait l'Enfer, le Purgatoire et les annexes de la Divine Comédie de Dante… Un voyage musical à travers la Dante Symphonie de Franz Liszt. La quintessence de la symphonie à programme qu'il a dit le Claude. Une œuvre tellement orchestrée qu'elle décrasse les oreilles. Hard Rock et Franz Liszt : même combat de décibels… Mais pour varier les plaisirs, beaucoup de passages sensuels dans le 2ème cercle de l'enfer : celui de la luxure… Tiens, il y avait une place réservée avec une étiquette marquée "Rockin" !?

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