Nous
avons commencé cette semaine tristement, avec un hommage à BB King, décédé la
semaine dernière, juste après son presque homonyme Ben E. King… C’est sans doute
pourquoi on a mélangé les noms dans notre article, mauvais point pour Sonia,
chargée de relire avant parution…
Blues
toujours, mardi, avec Rockin' qui a ressorti de ses cartons un grand
classique du genre, Hooker'n'Heat la rencontre du boogie man John Lee Hooker, et de ses descendants
directs : Canned Heat. Descendants ? Ca devrait plaire à François
Hollande…
Après
une semaine de désintox forcée, suite à son addiction aux guitaristes de
blues-rock moulées dans des petits shorts, Bruno va mieux : Double Fuck,
est l’album qu’il a choisi pour sa sortie de clinique ! L’oeuvre du
collectif CLAFF, qui donne dans le hard… enfin, le Hard Rock…
Article
fleuve, jeudi, par Vincent qui revenait sur la dernière décennie discographique
de Depeche Mode, avec des bas (pas résilles), des moyens (pas de transport) et
des hauts (pas de hurlevent). Oui bon ok, mais quand on sera rémunéré
correctement sur les calembours, on relèvera le niveau…
Luc
est ressorti de son bunker, où il était réfugié depuis son article sur Blade Runner, et a été au cinéma vendredi. Il nous conseille un film allemand, Le Labyrinthe du Silence, sur un sujet qui peut rebuter, le procès d'Auschwitz en 1962, mais que le réalisateur transforme en
thriller historique.
En
cas de Malher, vous pouvez appeler Claude ! Qui vient de créer une
nouvelle notation, le 6+, spécialement pour la symphonie n°9 dirigée par Carlo
Maria Giulini, qu’il place au panthéon de la musique classique. Du fugato au
staccato, du rondo au commodo (comme disait Cousteau), Claude décortique brillamment
ce chef d’œuvre. En parlant de commodo on peut dire que c'est marrant (les marrants du commodo..)
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Bon
week end, et comme disait je ne sais plus qui (ils ont été nombreux à le dire), et à lundi.
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