dimanche 27 avril 2014

UNE SEMAINE ROCK' N 'ROLL






Tout a commencé Lundi avec Philou qui a fait sensation en arrivant avec son  nouveau brushing. Faut dire qu'il s'est inspiré de celui de Joe Lynn Turner. L'ex-chanteur de Rainbow ou Deep Purple revenait en 2009 avec un nouveau projet, Sunstorm, au hard mélodique tendance eighties. Pas convaincu le Philou, même si le bonhomme demeure un sacré chanteur.

Rockin est à l'Ouest depuis longtemps, on le sait... C'est d'ailleurs là qu'il a déniché Two The West construit autour du duo de musiciens Lionel Giardina et Fred Woff. Leur premier album est une vraie réussite entre folk/rock, rock prog, et flirtant parfois même avec le hard. A suivre...

Mercredi Bruno nous a parlé du dernier Neal Black. Le texan, adopté par la France, comme Calvin Russel avant lui, sort un nouvel album, blues, blues/rock, avec guitare énergique et toujours cette voix rappée au bourbon.

Jeudi, Vince a sorti les clous avec Alter Bridge et leur album "Fortress", ça dépote sévère, plus près de Métallica que de Abba, avec en exergue la grosse gratte de  Mark Tremonti, et la voix de  Myles Kennedy. A conseiller à tout amateur de hard. Non, Luc, le "hard", la musique, pas le cinéma de Marc Dorcel...

Bon soyons juste, Luc ne connait pas que Marc Dorcel, il s'y connait un peu question ciné, la preuve, il connait aussi Fred Coppula (!), Ovidie, Manuel Ferrara, John B. Root (j'adore ce pseudo!). Il nous en parlera un jour dès que ses DVD entreposés dans son bureau auront été retrouvés... En attendant, vendredi, sortait sur les écrans sa superproduction, le 3ème volet de sa saga sur Le rock au cinema, avec au casting rien moins que Clash, Sex Pistols, Who, Pink Floyd, Prince mais aussi d’infâmes daubes et des clips pourris...

Pour finir sur une note plus calme cette semaine pleine de furie et de décibels, samedi Claude nous a fait découvrir Louis Théodore Gouvy, "Un romantique du XIXème siècle, de la génération de Berlioz qui l'adulait..., Nè dans la Sarre après Waterloo, il a été dédaigné des français qui le croyaient allemand et des allemands qui l'entendaient parler français. C'est à pleurer ; conclusion : 100 ans de traversée du désert avant la redécouverte de ce musicien d’envergure au XXIème siècle. Claude s'est mis au parfum et nous parle de la Symphonie N°4 du Théodore... 
Le Claude qui en a profité pour inviter Sonia à un pique nique sur l'herbe, mais celle-ci a préféré aller manger "chez Mimile" avec Philou, séduite par son gros brushing...

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