dimanche 13 septembre 2015

CHAUDE LA SEMAINE !

Lundi Philou de retour de vacances tout bronzé et tout musclé par 2 mois d'EPO (Eau, Pastis/Olives) a attaqué fort avec un de ses groupes de chevet, le  Bad Company de Paul Rodgers et Mick Ralphs. Philou a écouté pour nous la version Deluxe de leur premier album éponyme (1974) et plus particulièrement le second CD bourré de bonus. Trésor pour les fans et - on peut rêver - découverte pour certains jeunes qui verront que One Direction, Tokyo Hotel et BB Brunes sont bien légers finalement comparés aux monstres des seventies...

Rentrée aussi pour Rockin qui après ses chroniques estivales sur la pluie et le beau temps revient aux affaires avec un groupe de blues danois, The Blues Overdrive, et un album tout en finesse où plane parfois l'ombre de JJ Cale.

Mercredi on a eu du mal a calmer Bruno, et Sonia a dû lui recoudre 2 fois sa braguette. Il nous a fait le coup de Sticky Fingers des Stones... Faut dire qu'il nous a déniché un sujet sur les pochettes de disques sexy, ou de nymphettes très peu vêtues voire pas du tout, s'exhibent pour la gloire du rock'n'roll. Un peu machiste tout ça, aussi Bruno fera un spécial mâles virils pour nos lectrices prochainement...

Pat touché par le même virus que son collègue, nous parlé jeudi des pastiches en BD, Aspénix le grivois, la Schtroumpfette à poil, Mademoiselle Jeanne qui batifole avec Gaston et sa grosse gaffe, Tintin et "Objectif foune", les pasticheurs se déchaînent pour notre plus grand plaisir. Notons chers lecteurs que ces 2 sujets scabreux font exploser les compteurs de visite du blog, ce constat nous fait étudier des partenariats avec Marc Dorcel et Jacquie & Michel...

Plus sérieux Luc qui a été voir la palme d'or du dernier Cannes, Deephan,  de Jacques Audiard, et même si la fin l'a un peu déçu, Luc lui a attribué ses 5 étoiles. L'histoire de ce combattant tamoul (marinière) réfugié dans nos cités offre de beaux moments de cinéma.

Samedi nous avons découvert la carrière d'un compositeur peu connu, même Claude avoue ne pas avoir entendu parler de lui avant la semaine dernière... Hans Rott (mais pas à table), avait été coloc de Gustav Malher. Atteint de folie et décédé à 25 ans il laisse peu d’œuvres derrière lui, dont cette symphonie un peu...folle.

Bon dimanche, et rendez vous la semaine prochaine...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire