dimanche 26 juillet 2015

LA SEMAINE DU DEBLOCNOT, ENTRE PLAGES ET MONTAGNES..




Lundi, huîtres  au menu avec Philou et le Blue Oyster Cult, BOC pour les intimes, et leur album de 1983 "The revolution by night", un BOC moins heavy qu'à ses débuts, avec même une incursion dans le disco, Philou pour se remettre a descendu quelques bocks...

Mardi on reste dans les coquillages puisque Rockin qui fêtait sa 400eme chronique nous a emmené à la plage, pour une petite revue des chansons ayant pour thème la plage.  
Brassens, Trenet, Lalanne, Neil Young, Chris Réa, les Beach Boys il y avait du beau monde avec nous sur les serviettes !

Blues mercredi avec Bruno et le 13ème album de Bernard Allison, "In the mix" son meilleur à ce jour selon notre chroniqueur ;  blues, soul, funk, et  2 reprises de papa Luther au programme. 

Aprés la mer la montagne - c'est bien aussi l'été - avec Vincent qui a vu le concert de Toto à Morzine, un live report comme si vous y étiez sur ce grand moment. A lire Vincent on se dit que les absents ont eu tort..

Vendredi, début du feuilleton d'été de Luc, qui nous parlera des acteurs/actrices qui s'adonnent à la musique, dans cette première partie Juliette Lewis et... Bruce Willis

Samedi on retourne à la plage de... Copacabana, avec Claude et son bermuda à carreaux, voyage d'étude qu'il nous a dit le Toon... Il voulait suivre les traces du compositeur italien Otorhino Laryngolog, euh pardon Ottorino Respighi, qui lors d'un voyage y composa ses "impressions brésiliennes", chaudes et colorées comme les  belle métisses dévêtues sur les plages d'Ipanema. Vous comprenez mieux pourquoi Rockin et Luc ont tant insisté pour accompagner Claude, mais restrictions budgétaires obligent, ils ont du se contenter des brésiliennes du bois de Boulogne...

Passez un bon dimanche et à Lundi; le Deblocnot reste ouvert tout l'été et au même prix!

1 commentaire:

  1. ...ils ont du se contenter des brésiliennes du bois de Boulogne... et sont tombés sur des brésiliens.

    Oups pardon ! On m'avait pourtant sommer de ne rien dire. Désolé !

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