On a commencé cette semaine par
un article sur la manière d'entrer dans des voitures bi-énergie, essence/gaz : l’ouverture
des Hybrides. Ah non. On me signale qu’il s’agissait de l’ouverture des Hébrides, une œuvre de Félix Mendelssohn, dirigée par Claudio Abbado. Le livret est
signé Claude Toon.
Mardi, Rockin’ nous a rappelé
au bon souvenir de Mick Clarke, guitariste qui a fait ses classes à l’époque du
british blues boom, mais sans doute moins connu aujourd’hui que ses pairs Page,
Beck ou Clapton. Et pourtant, Mick Clarke revient avec un album de blues bourré
de feeling.
Mercredi, Bruno déclare la
guerre aux meilleurs disques live des années 90, on y croise du Santana, du Gary
Moore, du Cheap Trick, Alice Cooper… Qui en ces temps-là n’étaient plus des
perdreaux de l’année, mais ont su conserver toute leur énergie scénique.
Jeudi, Pat a tressé les
lauriers d’un grand chef d’œuvre de la pop, le Song in the keys of life de
Stevie Wonder. Tiens, à propos, vous connaissez l’histoire de Stevie Wonder qui
rentre dans un restaurant ? Et puis qui rentre dans une table, et dans un
serveur, et dans un client… C’est pas bien de se moquer… M’en fout, il ne nous
lira pas !
Comme s’il ne faisait pas assez
chaud comme ça, Luc nous a fait grimper le mercure dans le tube, vendredi, avec
un classique du cinéma porno américain : Derrière la porte verte. Sonia a
été très impressionnée par la scène des trapèzes : Ca doit faire mal au c.. ces
trucs-là… Arrfff, ma p’tite Sonia, si ce n’étaient que les trapèzes…
Samedi, toujours dans sa
thématique bagnole, Claude nous a fait démonstration de sa dernière acquisition :
Mr Mercedes. Un polar, un vrai, de Stephen King, idéale lecture pour l’été. Bon,
on a les ventilo, la porte du frigo ouverte (c’est plus simple pour Philou,
partisan du moindre effort quand il s’agit de s’hydrater), et on va essayer de
vous sortir une prochaine semaine d’articles, avant qu'on soit totalement liquéfié...
Buvez frais, bon dimanche, et à lundi…
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