Retour en force en
France
Pendant
les années 80, Véronique Sanson reprendra en
main la réalisation de ses albums qu’elle co-signe quelques fois avec certains
de ses musiciens. Dans cette décennie, seulement trois albums studio sortiront
dans les bacs ainsi que trois live. Même si ses périodes d’enregistrement sont
plus espacés, ses apparitions sur scène ne le sont pas. Elle reste rarement
plus d’un an éloigné de sont public. En 1981,
l’album «Laisse-la vivre» annonce une
tournée sans précédent, trois semaines au Palais des Sports (Un album live à la
clé) avec le retour d’une section de cuivre.
Redoutable le duo avec Paul Personne !
RépondreSupprimer«Je crains que la vie ne lui ait pas donné autant de joie, qu'elle en a transmis à son public…» dites-vous.
RépondreSupprimerPour reprendre ses propres mots, je crois surtout (comme elle le reconnaît elle même dans une chanson de son album "indestructible") qu'elle c'est beaucoup manquée. Je pense que son tempérament impulsif et quelque peu irréfléchi lui ont souvent fait commettre des actes lourds de conséquences. Quitter Michel Berger comme elle la fait en est un bel exemple notamment.
J'aime malgré tout beaucoup son écriture (proche d'un Michel Berger justement) et la plus part de ses musiques.
Lors d'un concert de sa tournée hommage à Michel Berger, je lui avais fait parvenir un long courrier à son attention, que j'avais eu la chance de pouvoir remettre en main propre à son Gentleman de bassiste, Leeland Sklar.
J'attendais un simple mot de sa part en retour. Rien n'est jamais venu !
Elle se donne à son public dis-tu Pat ? Oui mais sur scène. Et uniquement sur scène. C'est en tout cas à croire.
Un de mes premiers souvenirs musicaux de quand j'étais minot remonte à l'album "Vancouver" dont je ne comprenais aucunement le sens. Vent couvert ? Mais de quel vent couvert parle -t-elle ? Une des photos intérieur la représentait telle une "boucles d'or" songeuse (et bronzée). Je crois que mon attirance pour la blondeur féminine est née de cette photo. Amoureux ?
Un autre souvenir, amusant celui là, me reste en mémoire à jamais. Dans le titre "Redoutable", Véro chante "tu m'as donnée le goût de l'art". Quand il fredonnait cette chanson, mon père ne pouvait s'empêcher de la reformuler en "tu m'as donné le goût du lard". Ce qui ne manquait de nous faire hurler de rire mes soeurs et moi. Lamentable Pat, je sais.
A+
Vince.