tag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post1043384950012558169..comments2024-03-28T13:15:57.758+01:00Comments on Le Deblocnot': BRAHMS – Symphonie N° 1 – Claudio ABBADO (BPO 1991) – par Claude TOONDeblocnot'http://www.blogger.com/profile/17968140942446489718noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-4839272238189765822016-09-24T15:06:44.453+02:002016-09-24T15:06:44.453+02:00Ça se défend : le soleil italien dans Brahms. Je n...Ça se défend : le soleil italien dans Brahms. Je n'ai pas pu citer aussi les slaves qui comme Rafael Kubelik à la Philharmonie de Vienne (une vision presque chambriste) ou Kurt Sanderling à Dresde laissant l'air circuler comme rarement ont marqué l'histoire du disque (Kubelik pour DECCA en 1959 ; Sanderling pour RCA en 1971).<br />N'oublions pas le hollandais Bernard Haitink à Amsterdam toujours aussi raffiné et précis dans sa direction…<br />Et puis c'est vrai que lorsque l'on écoute Klemperer issu de la grande tradition germanique, même avec le so british Philharmonia, il y a une hauteur de vue olympienne. Quelle grandeur certes ! Mais quelle précision dans le détail. Deezer : http://www.deezer.com/album/6189177<br /><br />Comme on dit " y a du choix" ;o)Claude Toonhttps://www.blogger.com/profile/18084417510246050301noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-36569382365140527202016-09-24T11:23:47.417+02:002016-09-24T11:23:47.417+02:00Je cherchais un mot pour le troisième mouvement et...Je cherchais un mot pour le troisième mouvement et puis tu l'as toi même écris "Champêtre". Et pour ce qui est de la direction de l'orchestre, rien à dire avec Abbado (Comme avec Giulini), tu as l'impression de boire de l'asti, c'est doux et sa glisse tout seul par rapport à l'école Allemande qui est plus reich...Pardon rêche comme une bière à 14°. pat sladehttps://www.blogger.com/profile/03591116779268401994noreply@blogger.com