tag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post1758700554779854360..comments2024-03-28T13:15:57.758+01:00Comments on Le Deblocnot': DIRE STRAITS, L'AMERIQUE FANTASMEE (2015) par Luc B.Deblocnot'http://www.blogger.com/profile/17968140942446489718noreply@blogger.comBlogger8125tag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-44926179264751480932016-04-10T19:14:07.720+02:002016-04-10T19:14:07.720+02:00Merci pour ces précisions, Petit Diable. C'est...Merci pour ces précisions, Petit Diable. C'est vrai qu'il y avait des cd de 74 ou de 80 minutes. Et même, lorsqu'on grave avec le logiciel Nero, la possibilité d'étendre au delà, avec une option qui autorise de "casser" le code. J'ai réussi à mettre un live de Willie Deville sur un cd d'une durée de 90 mn ! je pense que la musique est compressée davantage, et le résultat, sur la fin du disque, n'est pas terrible. Luc B.https://www.blogger.com/profile/03254816995454366398noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-50337026303915364082016-04-10T11:08:20.641+02:002016-04-10T11:08:20.641+02:00Très belle chronique. J'ai décroché de Dire St...Très belle chronique. J'ai décroché de Dire Straits après Love Over Gold, pour ma part. Mais les quatre premiers albums sont de vrais bijoux !<br />Factuellement, la réponse à ta question-concours est erronée, mais plus ou moins exacte au niveau de l'anecdote : le Redbook fixant les normes du CD Audio prône une durée de 79,8 minutes pour la durée maximale d'un CD, durée presqu'atteinte en 1984 pour une CD classique consacré à Monteverdi. Cependant, de noùbreux lecteurs de première génération avait bien du mal à lire les CD excédant une soixantaine de minutes... Mais il est vrai que le PDG de Sony, Norio Ohga, conseillé par Karajan, souhaitait que la version de Furtwängler / Bayreuth 1951 de la 9ème symphonie de Beethoven puisse tenir sur un CD : elle dure en effet 74:40 minutes. C'est cet argument qui a fait plier Philips, vrai inventeur du CD, qui préconisait au départ un disque de 11,5 cm contenant 60 minutes de musique, et en forte compétition avec Sony à l'époque, d'autant que la marque hollandaise détenait les usines de pressage PolyGram.Diablotinhttp://latelierdediablotin.fr/WordPress3noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-79743190286929901712016-04-08T21:15:15.852+02:002016-04-08T21:15:15.852+02:00Quand on peut rendre service...Quand on peut rendre service...Shufflenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-34373335875853857032016-04-08T17:53:38.051+02:002016-04-08T17:53:38.051+02:00Ah Shuffle tu me fais plaisir! (c'est si rare....Ah Shuffle tu me fais plaisir! (c'est si rare.....) Moi aussi je me souviens de la première écoute de ce Lp et cette dobro sur "Water of Love" la claque! Faut dire qu'a l'époque y'avait plus grand chose à se mettre sous la dent. Le premier reste pour moi le meilleur et de loin après effectivement ça devient ampoulé mais y'a quand même de très bonne chose, "Brother in Arms" le titre , grandiose mélodie et le live BBC. Mon petit-fils (11ans) écoute ce premier Dire Straits en boucle depuis qu'il a déniché le 33 Tours vinyl (il est bien ce petit!)jean-pascal.guillethttps://www.blogger.com/profile/12745852600386820079noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-37603044024902512412016-04-08T17:53:19.419+02:002016-04-08T17:53:19.419+02:00Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.jean-pascal.guillethttps://www.blogger.com/profile/12745852600386820079noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-63078218984267626932016-04-08T13:22:56.627+02:002016-04-08T13:22:56.627+02:00"Love over gold" sera le déclic et en ju..."Love over gold" sera le déclic et en juin 1985, je serais à Bercy pour voir la machine Dire Strait que je retournerais rendre visite en octobre 1991 dans la même salle. Mais le premier concert "Brothers in arms" vaudra cent fois mieux que la tournée "On every street"pat sladehttps://www.blogger.com/profile/03591116779268401994noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-63054796284943459162016-04-08T08:49:31.758+02:002016-04-08T08:49:31.758+02:00Itou ! C'est mon frangin qui avait ramené le d...Itou ! C'est mon frangin qui avait ramené le disque, qui tournait sans arrêt sur la chaine familiale, et c'était incroyable la ferveur avec laquelle on écoutait ça, une sorte de graal ! D'ailleurs, le titre qui m'avait vraiment marqué n'était pas "Sultan" mais "In the gallery"... Ché pas pourquoi... Le jeu du batteur, toute en finesse, me rappelle un peu l'esprit de Jamie Oldaker, le batteur de Clapton sur les disques des 70's, sachant que Knopfler/Clapton se sont un moment retrouvé sur le même créneau, ce n'est pas étonnant. Comment accompagner un groupe de rock qui joue laid-back... Luc B.https://www.blogger.com/profile/03254816995454366398noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7511871491513088739.post-82625634630614959632016-04-08T08:27:04.390+02:002016-04-08T08:27:04.390+02:00Il faut se rappeler le choc du premier à l'épo...Il faut se rappeler le choc du premier à l'époque. Je me souviens très bien du jour où je l'ai ramené chez moi. D'accord pour Withers, excellent batteur, un peu le pendant de Bob Burns chez Lynyrd Skynyrd, tous deux remplacés par des cogneurs. Shufflenoreply@blogger.com